Comme depuis le d\u00e9but de la t\u00e9l\u00e9phonie sans fil, cette valeur est test\u00e9e d'abord sur une repr\u00e9sentation de la t\u00eate humaine, comme si le propri\u00e9taire de l'appareil \u00e9tait en communication. La mesure a lieu \u00e0 l'endroit d\u00e9fini comme ayant la plus forte absorption, ce qui dans le cas d'un smartphone ou d'un t\u00e9l\u00e9phone portable se trouve le plus pr\u00e8s possible des antennes. Les mesures sont faites \u00e0 plusieurs endroits de la t\u00eate dans diverses plages de fr\u00e9quences (plus elles sont \u00e9lev\u00e9es, plus elles sont vectrices d'\u00e9nergie mais moins elles p\u00e9n\u00e8trent les tissus).<\/p>\n
Dans le cas des smartphones d'autres tests sont \u00e9galement men\u00e9s, comme par exemple aux extr\u00e9mit\u00e9s, au niveau de la taille, etc. Ce qu'il faut savoir, c'est le DAS a beau s'appeler partout le DAS (ou SAR en anglais), on ne le mesure pas partout pareil<\/strong> ! Aux \u00c9tats-Unis, la valeur est mesur\u00e9e sur 1 gramme seulement de tissu, absorbant la plus forte intensit\u00e9 de signal. Dans l'Union europ\u00e9enne, elle est faite sur 10 grammes de tissus. En l'absence d'information sur le volume utilis\u00e9 pour la mesure (ou du pays dans lequel le DAS a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9), la comparaison entre les DAS d'appareils vendus \u00e0 deux points du globe n'est pas possible.<\/p>\n