Cr\u00e9dits Markus Spiske\/Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
L\u2019ARCEP veut plus de transparence en ce qui concerne les outils de tests de la qualit\u00e9 du service Internet.<\/strong> Diff\u00e9rents outils peuvent aujourd\u2019hui servir \u00e0 mesurer une connexion, comme Speedtest, IPv6Test, nPerf\u2026 et certains sont utilis\u00e9s par diff\u00e9rentes associations de consommateur comme UFC Que Choisir.<\/p>\n
Les r\u00e9sultats obtenus apr\u00e8s un de ces tests peuvent grandement varier selon les conditions dans lesquels ils sont obtenus. Ainsi, un Wi-Fi d\u2019une mauvaise qualit\u00e9, un serveur mal optimis\u00e9 ou un navigateur obsol\u00e8te peuvent avoir un impact sur le test en lui-m\u00eame. C\u2019est sur ce point pr\u00e9cis que l\u2019ARCEP<\/strong> souhaite agir.<\/p>\n
A lire aussi – Test \u00e9ligibilit\u00e9 Fibre, ADSL : l\u2019Arcep lance une carte pour savoir quel op\u00e9rateur a le meilleur d\u00e9bit<\/a><\/strong><\/p>\n
Apr\u00e8s avoir publi\u00e9 un premier code de conduite il y a maintenant deux ans, l\u2019ARCEP publie une nouvelle version du document<\/strong> qui allonge la liste des exigences afin de proposer des r\u00e9sultats plus pr\u00e9cis. Les tests phares disponibles aujourd\u2019hui entrent d\u00e9j\u00e0 dans les clous de ce nouveau code, qui s\u2019adresse plus aux nouveaux outils qui apparaissent sur le net. Ainsi, pour \u00eatre conforme \u00e0 l\u2019Arcep et le clamer, les outils devront signaler les soucis qui peuvent fausser les mesures. La latence m\u00e9diane devra \u00e9galement \u00eatre prise en compte dans les r\u00e9sultats finaux des tests.<\/p>\n