Cr\u00e9dits : Pexels<\/figcaption><\/figure>\n
YouTube<\/strong> est l\u2019une des plateformes les plus visit\u00e9es au monde, mais elle n\u2019\u00e9chappe pas aux publicit\u00e9s douteuses<\/strong>. Ce week-end, en recherchant \u00ab\u202fCanal+ Sport<\/em>\u202f\u00bb, un membre de notre \u00e9quipe a d\u00e9couvert une annonce<\/strong> pour une IPTV<\/a> ill\u00e9gale<\/strong>. Ces services illicites permettent d\u2019acc\u00e9der \u00e0 des contenus premium, comme les comp\u00e9titions sportives diffus\u00e9es par Canal+<\/strong>, \u00e0 des prix imbattables. Cette situation est d\u2019autant plus surprenante que le groupe audiovisuel m\u00e8ne une lutte acharn\u00e9e contre le piratage depuis plusieurs mois<\/a>.<\/p>\n
La publicit\u00e9<\/strong> incrimin\u00e9e promet un \u00ab\u202fBouquet 4K Ultra HD<\/em>\u202f\u00bb avec replay<\/strong> et support client 24h\/24<\/strong>, \u00e0 partir de seulement 7,90 \u20ac par mois<\/strong>. Ces offres s\u00e9duisent souvent les amateurs de sport ou de cin\u00e9ma, mais elles contreviennent aux lois sur les droits d\u2019auteur. Ce type de contenu, affich\u00e9 sur une plateforme comme YouTube, interroge sur l\u2019efficacit\u00e9 des syst\u00e8mes de contr\u00f4le des publicit\u00e9s<\/strong> de Google. Malgr\u00e9 les efforts des diffuseurs pour limiter l\u2019acc\u00e8s aux contenus pirates, ces annonces continuent de prolif\u00e9rer, ciblant les utilisateurs avec des mots-cl\u00e9s sp\u00e9cifiques comme \u00ab\u202fCanal+\u00bb ou \u00ab\u202fbeIN Sports\u202f\u00bb.<\/p>\n