Les cyberattaques deviennent de plus en plus inventives pour contourner les protections des ordinateurs. R\u00e9cemment, une nouvelle m\u00e9thode a \u00e9t\u00e9 d\u00e9couverte qui permet aux hackers d\u2019installer un programme malveillant sans \u00eatre d\u00e9tect\u00e9s par les antivirus. Ce stratag\u00e8me sophistiqu\u00e9 menace directement les utilisateurs de Windows.<\/strong><\/p>\n
![\"Malware\"](\"https:\/\/wp-pa.phonandroid.com\/uploads\/2024\/08\/Malware.jpg\")
Les attaques de phishing<\/a> restent l\u2019un des moyens favoris des hackers<\/strong> pour infecter des ordinateurs<\/strong> et acc\u00e9der aux donn\u00e9es<\/strong> des utilisateurs. Avec des techniques en constante \u00e9volution, les cybercriminels r\u00e9ussissent \u00e0 tromper les logiciels de s\u00e9curit\u00e9<\/strong>. Derni\u00e8rement, des chercheurs en cybers\u00e9curit\u00e9 ont d\u00e9voil\u00e9 une nouvelle m\u00e9thode<\/strong> visant particuli\u00e8rement les utilisateurs de Windows 10<\/strong> et Windows 11<\/a> : elle utilise une machine virtuelle Linux<\/strong> install\u00e9e discr\u00e8tement pour \u00e9chapper aux syst\u00e8mes de d\u00e9tection.<\/p>\n
Baptis\u00e9e CRON#TRAP<\/strong>\u00a0par les analystes en cybers\u00e9curit\u00e9 de Securonix, cette campagne d\u00e9marre par un simple email de phishing<\/strong>. Ce dernier se pr\u00e9sente comme un sondage<\/strong> de l\u2019assureur am\u00e9ricain OneAmerica. En cliquant dessus, les victimes t\u00e9l\u00e9chargent un gros fichier qui installe une machine virtuelle Linux<\/a> appel\u00e9e TinyCore<\/strong> gr\u00e2ce au programme QEMU. Pendant que l\u2019utilisateur voit un message d\u2019erreur trompeur \u00e0 l\u2019\u00e9cran, la machine virtuelle infect\u00e9e<\/strong> s\u2019installe discr\u00e8tement sur son ordinateur.<\/p>\n
