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Si en 2011, on d\u00e9nombrait seulement 3809 malwares visant Android, ce chiffre n'a cess\u00e9 d'augmenter en l'espace de cinq ans, notamment en 2013 o\u00f9 il se voyait quasiment multipli\u00e9 par cinq<\/strong> et d\u00e9passait le million pour attendre 2,3 millions en 2015. Au dernier trimestre 758 133 malwares visaient l'OS de Google soit un toutes les onze secondes<\/strong>.<\/span><\/p>\n
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Un constat alarmant qui fait froid dans le dos, d'autant plus que 66% des smartphones<\/strong> utilis\u00e9s dans le monde (d'apr\u00e8s G Data) sont sous Android et que 52% des europ\u00e9ens poss\u00e9dant un smartphone ou une tablette l'utilisent pour effectuer leurs op\u00e9rations bancaires<\/strong>. D'apr\u00e8s la soci\u00e9t\u00e9, si le nombre de malwares a autant augment\u00e9 sur Android, c'est parce que les cybercriminels visent d\u00e9sormais plus le mobile que le PC. Elle s'attend d'ailleurs \u00e0 une v\u00e9ritable recrudescence des malwares sur l'OS de Google en 2016<\/strong>.<\/span><\/p>\n
En outre, cette ann\u00e9e, les logiciels malveillants devraient viser, non seulement les smartphones et les tablettes mais \u00e9galement les objets connect\u00e9s. Les cybercriminels cherchent actuellement des failles \u00e0 exploiter afin d'intensifier leurs activit\u00e9s dans ce domaine. La plupart de ces objets connect\u00e9s sont contr\u00f4l\u00e9s par des applications Android et les experts s'attendent \u00e0 voir la menace grandir en 2016.<\/span><\/p>\n