Sur un march\u00e9 des tablettes en berne, Google revient avec sa Pixel C, une ardoise r\u00e9solument haut de gamme orient\u00e9e vers le multim\u00e9dia, mais aussi la productivit\u00e9 avec son clavier optionnel. Trois ans apr\u00e8s la Nexus 10, cette nouvelle tablette tient elle toutes ses promesses\u00a0? Notre test complet de la Google Pixel C vous dit tout, maintenant.<\/strong><\/p>\n
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Test de la Google Pixel C<\/span><\/h2>\n\n<\/thead>\n<\/p>\n
Fiche technique de la Google Pixel C<\/b><\/caption>\n \u00c9cran<\/td>\n LCD\u00a010,2 pouces Quad HD 2560 x 1800\u00a0pixels (308 ppp)<\/td>\n<\/tr>\n Processeur<\/td>\n Nvidia Tegra X1 64 bit,\u00a08 c\u0153urs : 4 Cortex A57 \u00e0 2 Ghz et 4 Cortex A53<\/td>\n<\/tr>\n Puce graphique (GPU)<\/td>\n Maxwell (256 coeurs CUDA)<\/td>\n<\/tr>\n M\u00e9moire vive<\/td>\n 3 GB LPDDR4<\/td>\n<\/tr>\n Stockage<\/td>\n 32 ou 64 Go<\/td>\n<\/tr>\n MicroSD<\/td>\n non<\/td>\n<\/tr>\n Cam\u00e9ra arri\u00e8re<\/td>\n 8 M\u00e9gapixels<\/td>\n<\/tr>\n Cam\u00e9ra frontale<\/td>\n 2 M\u00e9gapixels<\/td>\n<\/tr>\n Connectivit\u00e9<\/td>\n \u00a0Wi-Fi 802.11 a\/g\/b\/n\/ac (dual-band2,4 et 5 Ghz), 2×2 MIMO, GPS,\u00a0Bluetooth 4.1<\/td>\n<\/tr>\n Connectique<\/td>\n prise casque 3,5 mm, micro USB type-C<\/td>\n<\/tr>\n Batterie<\/td>\n 9000 mAh (non amovible)<\/td>\n<\/tr>\n Audio<\/td>\n Haut-parleurs st\u00e9r\u00e9o<\/td>\n<\/tr>\n Coloris<\/td>\n Gris m\u00e9tal<\/td>\n<\/tr>\n Dimensions<\/td>\n 242 x 179 x 7 mm<\/td>\n<\/tr>\n Poids<\/td>\n 517 grammes<\/td>\n<\/tr>\n OS<\/td>\n Android 6.0 Marshmallow<\/td>\n<\/tr>\n Autres<\/td>\n Clavier physique en option (399 grammes)<\/td>\n<\/tr>\n Prix<\/td>\n Tablette Pixel C : 499\u20ac<\/p>\nClavier optionnel : 169\u20ac<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\n
Un Design irr\u00e9prochable<\/span><\/h2>\n<\/p>\n
La Google Pixel C ne cache pas sa parent\u00e9 avec le Chromebook Pixel. Ainsi, on retrouve logiquement une tablette fabriqu\u00e9e dans une seule pi\u00e8ce d'aluminium. Le design est extr\u00eamement soign\u00e9 et irr\u00e9prochable.<\/p>\n
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Les bordures de l'\u00e9cran ne sont pas trop encombrantes pour un format 10,2 pouces. La cam\u00e9ra avant de 2 m\u00e9gapixels est centr\u00e9e. La face arri\u00e8re est d'une grande sobri\u00e9t\u00e9, aucun logo Google \u00e0 l'horizon. Seul le capteur photo de 8 m\u00e9gapixels se trouve dans le coin sup\u00e9rieur droit, ainsi que la barre affichant les LED de notification fa\u00e7on \u00ab\u00a0Kitt\u00a0\u00bb dans \u00ab\u00a0\u00a0K2000\u00a0\u00bb (les plus vieux comprendront).<\/p>\n
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Les quatre LED affichent quatre couleurs lorsque la tablette est sous tension. Lorsque vous ne l'utilisez pas ou que vous la rechargez, vous pouvez taper deux fois dessus avec le doigt pour afficher le niveau de charge de la batterie. Pratique.<\/p>\n
La tranche droite accueille un premier haut-parleur \u00e9quip\u00e9 de 5 grilles, ainsi que la prise casque 3,5 mm. La Google Pixel C n'est d'ailleurs pas plus \u00e9paisse que cette prise jack. La tranche gauche est \u00e9quip\u00e9e du second haut-parleur, du bouton de r\u00e9glage du volume, qui tombe sous l'index lorsque l'on tient la tablette \u00e0 deux mains, ainsi que d'une prise micro USB Type-C.<\/p>\n
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Sur la tranche sup\u00e9rieure, le bouton de mise sous tension et quatre microphones. Sur la tranche du dessous, un simple \u00ab\u00a0Design by Google. Made in China\u00a0\u00bb aux c\u00f4t\u00e9s des mentions obligatoires. La Google Pixel C est une tr\u00e8s belle tablette, clairement haut de gamme. Elle respire la solidit\u00e9, m\u00eame si cela se fait au prix d'un poids un peu \u00e9lev\u00e9 pour \u00eatre utilis\u00e9 confortablement \u00e0 une main.<\/p>\n
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Le clavier magn\u00e9tique<\/span><\/h2>\nNous avons eu l'occasion de tester le clavier de la Google Pixel C, qui est malheureusement optionnel. Pour l'obtenir, vous devez d\u00e9bourser 169\u20ac, en plus de 499\u20ac de la tablette. Il est tr\u00e8s classique et n'apporte rien de plus ou de moins que les claviers Bluetooth sous Android au niveau des touches. Ces derni\u00e8res sont suffisamment larges, avec une frappe confortable (m\u00eame si un petit temps d'adaptation est n\u00e9cessaire) qui a le bon go\u00fbt de ne pas faire trop de bruit.<\/p>\n
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La partie sup\u00e9rieure est dot\u00e9e d'un aimant qui permet de l'accrocher avec une puissance surprenant \u00e0 la tablette (ou au frigo si vous en avez envie). Vous avez ensuite simplement \u00e0 rabattre la tablette vers vous. La premi\u00e8re connexion est un peu violente tant la puissance magn\u00e9tique de l'aimant surprend. On est ensuite rassur\u00e9 par une telle solidit\u00e9. \u00c0 l'arri\u00e8re, quatre petits patins viennent assurer l\u2019adh\u00e9rence du clavier.<\/p>\n
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L'appairage du clavier \u00e0 la tablette se fait par Bluetooth. L\u2019association se fait assez facilement. Vous n'aurez ensuite plus \u00e0 le refaire tant que le Bluetooth est activ\u00e9. Il y a tout de m\u00eame un petit temps d'attente de quelques secondes avant que le clavier soit bien pris en compte lorsque vous le connectez. Le couple clavier-tablette est suffisamment \u00e9quilibr\u00e9 pour \u00eatre utilis\u00e9 dans diff\u00e9rentes situations, y compris sur les genoux.<\/p>\n
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Vous pouvez vous servir du clavier pour prot\u00e9ger l'\u00e9cran, mais attention \u00e0 le mettre du bon c\u00f4t\u00e9, sans quoi l'attache magn\u00e9tique ne se fera pas bien. Si l'\u00e9paisseur reste correcte, le poids grimpe tout de m\u00eame \u00e0 916 grammes. Vous ne pourrez pas simplement rabattre l'\u00e9cran comme sur un ordinateur portable. Vous devez d\u00e9solidariser le clavier de la tablette en les mettant \u00e0 plat et en tirant les deux parties de chaque c\u00f4t\u00e9.<\/p>\n
Ce clavier a bien s\u00fbr pour int\u00e9r\u00eat de transformer la tablette en petit PC d'appoint et en faire un outil de productivit\u00e9. Nous verrons un peu plus loin dans la partie logicielle si cela est bien le cas.<\/p>\n
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Un Ecran magnifique<\/span><\/h2>\nAttention, vous allez en prendre plein les yeux. Google ne nomme pas son ardoise \u00ab\u00a0Pixel\u00a0\u00bb pour rien. Le rendu de l'\u00e9cran est simplement magnifique, s\u00fbrement la meilleure sur une tablette Android \u00e0 ce jour. La dalle 10,2 pouces poss\u00e8de une d\u00e9finition Quad HD de 2560 x 1440 pixels, offrant \u00e0 l'\u00e9cran une r\u00e9solution confortable de 308 ppp.<\/p>\n
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Le contraste est excellent pour un \u00e9cran LCD, m\u00eame si l'AMOLED garde toujours l'avantage sur ce point, la luminosit\u00e9 maximum est tr\u00e8s bonne, tout comme la colorim\u00e9trie. Les angles de vues sont irr\u00e9prochables. Quand on propose une tablette haut de gamme orient\u00e9e multim\u00e9dia et productivit\u00e9, on se doit d'avoir un affichage au top, et c'est exactement ce que nous donne Google ici. De quoi sublimer tout ce qui s'affiche \u00e0 l'\u00e9cran.<\/p>\n
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Des Performances de haut vol<\/span><\/h2>\nLe dernier SoC Tegra X1 de chez Nvidia qui est embarqu\u00e9 dans la Google Pixel C. Nous avions d\u00e9j\u00e0 crois\u00e9 sa route dans notre test de la Nvidia Shield TV<\/a>. C'est donc sans surprise que l'on constate des performances de tr\u00e8s haut vol pour le processeur 8 c\u0153urs et sa puce graphique Maxwell compos\u00e9e de 256 c\u0153urs CUDA.<\/p>\n
Benchmarks de la Google Pixel C<\/b><\/caption>\n AnTuTu<\/strong><\/td>\n 92219<\/td>\n<\/tr>\n Geekbench 3<\/b> (Single-Core \/ Multi-Core)<\/td>\n 1407 \/ 4199<\/td>\n<\/tr>\n Basemark OS II\u00a0<\/b>(Overall \/ System \/ Memory \/ Graphics \/ Web)<\/td>\n 1935 \/ 2719 \/ 887 \/ 6318 \/ 919<\/td>\n<\/tr>\n GFX Bench Manhattan ES 3.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n 1575 \/ 3017<\/td>\n<\/tr>\n GFX Bench T-Rex ES 2.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n 2533 \/ 4747<\/td>\n<\/tr>\n PC Mark<\/strong><\/td>\n 6909<\/td>\n<\/tr>\n 3D Mark Unlimited<\/strong><\/td>\n 40469<\/td>\n<\/tr>\n Basemark X<\/strong> (High Quality)<\/td>\n 40615<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\nNous aurions simplement aim\u00e9 y voir le service GeForce Now pour jouer en streaming. Mais il semble que Nvidia r\u00e9serve cette fonctionnalit\u00e9 \u00e0 ses propres produits comme la Nvidia Shied Tablet K1<\/a>.<\/p>\n
Une interface pour tablette, pas pour PC<\/span><\/h2>\n<\/p>\n
C'est bien s\u00fbr Android Marshmallow dans sa version 6.0 qui est livr\u00e9e avec cette Pixel C. Google oblige, nous sommes dans une version stock Android, tout ce qu'il y a de plus pure. On ne reviendra pas en d\u00e9tail dessus, nous vous l'avons d\u00e9j\u00e0 pr\u00e9sent\u00e9 dans notre test d'Android Marshmallow<\/a>, ou encore sur le test du Nexus 6P<\/a> ou 5X.<\/p>\n
La barre des notifications ne prend pas toute largeur de l'\u00e9cran et peut \u00eatre d\u00e9roul\u00e9e \u00e0 trois endroits diff\u00e9rents\u00a0: gauche, centre ou droite. Mais on sent bien qu'Android 6.0<\/a>\u00a0est encore loin d'\u00eatre optimis\u00e9 pour un usage sur PC, ou m\u00eame dans une optique de productivit\u00e9.<\/p>\n
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Clavier optionnel : 169\u20ac<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\n
Un Design irr\u00e9prochable<\/span><\/h2>\n<\/p>\n
La Google Pixel C ne cache pas sa parent\u00e9 avec le Chromebook Pixel. Ainsi, on retrouve logiquement une tablette fabriqu\u00e9e dans une seule pi\u00e8ce d'aluminium. Le design est extr\u00eamement soign\u00e9 et irr\u00e9prochable.<\/p>\n
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Les bordures de l'\u00e9cran ne sont pas trop encombrantes pour un format 10,2 pouces. La cam\u00e9ra avant de 2 m\u00e9gapixels est centr\u00e9e. La face arri\u00e8re est d'une grande sobri\u00e9t\u00e9, aucun logo Google \u00e0 l'horizon. Seul le capteur photo de 8 m\u00e9gapixels se trouve dans le coin sup\u00e9rieur droit, ainsi que la barre affichant les LED de notification fa\u00e7on \u00ab\u00a0Kitt\u00a0\u00bb dans \u00ab\u00a0\u00a0K2000\u00a0\u00bb (les plus vieux comprendront).<\/p>\n
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Les quatre LED affichent quatre couleurs lorsque la tablette est sous tension. Lorsque vous ne l'utilisez pas ou que vous la rechargez, vous pouvez taper deux fois dessus avec le doigt pour afficher le niveau de charge de la batterie. Pratique.<\/p>\n
La tranche droite accueille un premier haut-parleur \u00e9quip\u00e9 de 5 grilles, ainsi que la prise casque 3,5 mm. La Google Pixel C n'est d'ailleurs pas plus \u00e9paisse que cette prise jack. La tranche gauche est \u00e9quip\u00e9e du second haut-parleur, du bouton de r\u00e9glage du volume, qui tombe sous l'index lorsque l'on tient la tablette \u00e0 deux mains, ainsi que d'une prise micro USB Type-C.<\/p>\n
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Sur la tranche sup\u00e9rieure, le bouton de mise sous tension et quatre microphones. Sur la tranche du dessous, un simple \u00ab\u00a0Design by Google. Made in China\u00a0\u00bb aux c\u00f4t\u00e9s des mentions obligatoires. La Google Pixel C est une tr\u00e8s belle tablette, clairement haut de gamme. Elle respire la solidit\u00e9, m\u00eame si cela se fait au prix d'un poids un peu \u00e9lev\u00e9 pour \u00eatre utilis\u00e9 confortablement \u00e0 une main.<\/p>\n
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Le clavier magn\u00e9tique<\/span><\/h2>\nNous avons eu l'occasion de tester le clavier de la Google Pixel C, qui est malheureusement optionnel. Pour l'obtenir, vous devez d\u00e9bourser 169\u20ac, en plus de 499\u20ac de la tablette. Il est tr\u00e8s classique et n'apporte rien de plus ou de moins que les claviers Bluetooth sous Android au niveau des touches. Ces derni\u00e8res sont suffisamment larges, avec une frappe confortable (m\u00eame si un petit temps d'adaptation est n\u00e9cessaire) qui a le bon go\u00fbt de ne pas faire trop de bruit.<\/p>\n
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La partie sup\u00e9rieure est dot\u00e9e d'un aimant qui permet de l'accrocher avec une puissance surprenant \u00e0 la tablette (ou au frigo si vous en avez envie). Vous avez ensuite simplement \u00e0 rabattre la tablette vers vous. La premi\u00e8re connexion est un peu violente tant la puissance magn\u00e9tique de l'aimant surprend. On est ensuite rassur\u00e9 par une telle solidit\u00e9. \u00c0 l'arri\u00e8re, quatre petits patins viennent assurer l\u2019adh\u00e9rence du clavier.<\/p>\n
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L'appairage du clavier \u00e0 la tablette se fait par Bluetooth. L\u2019association se fait assez facilement. Vous n'aurez ensuite plus \u00e0 le refaire tant que le Bluetooth est activ\u00e9. Il y a tout de m\u00eame un petit temps d'attente de quelques secondes avant que le clavier soit bien pris en compte lorsque vous le connectez. Le couple clavier-tablette est suffisamment \u00e9quilibr\u00e9 pour \u00eatre utilis\u00e9 dans diff\u00e9rentes situations, y compris sur les genoux.<\/p>\n
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Vous pouvez vous servir du clavier pour prot\u00e9ger l'\u00e9cran, mais attention \u00e0 le mettre du bon c\u00f4t\u00e9, sans quoi l'attache magn\u00e9tique ne se fera pas bien. Si l'\u00e9paisseur reste correcte, le poids grimpe tout de m\u00eame \u00e0 916 grammes. Vous ne pourrez pas simplement rabattre l'\u00e9cran comme sur un ordinateur portable. Vous devez d\u00e9solidariser le clavier de la tablette en les mettant \u00e0 plat et en tirant les deux parties de chaque c\u00f4t\u00e9.<\/p>\n
Ce clavier a bien s\u00fbr pour int\u00e9r\u00eat de transformer la tablette en petit PC d'appoint et en faire un outil de productivit\u00e9. Nous verrons un peu plus loin dans la partie logicielle si cela est bien le cas.<\/p>\n
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Un Ecran magnifique<\/span><\/h2>\nAttention, vous allez en prendre plein les yeux. Google ne nomme pas son ardoise \u00ab\u00a0Pixel\u00a0\u00bb pour rien. Le rendu de l'\u00e9cran est simplement magnifique, s\u00fbrement la meilleure sur une tablette Android \u00e0 ce jour. La dalle 10,2 pouces poss\u00e8de une d\u00e9finition Quad HD de 2560 x 1440 pixels, offrant \u00e0 l'\u00e9cran une r\u00e9solution confortable de 308 ppp.<\/p>\n
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Le contraste est excellent pour un \u00e9cran LCD, m\u00eame si l'AMOLED garde toujours l'avantage sur ce point, la luminosit\u00e9 maximum est tr\u00e8s bonne, tout comme la colorim\u00e9trie. Les angles de vues sont irr\u00e9prochables. Quand on propose une tablette haut de gamme orient\u00e9e multim\u00e9dia et productivit\u00e9, on se doit d'avoir un affichage au top, et c'est exactement ce que nous donne Google ici. De quoi sublimer tout ce qui s'affiche \u00e0 l'\u00e9cran.<\/p>\n
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Des Performances de haut vol<\/span><\/h2>\nLe dernier SoC Tegra X1 de chez Nvidia qui est embarqu\u00e9 dans la Google Pixel C. Nous avions d\u00e9j\u00e0 crois\u00e9 sa route dans notre test de la Nvidia Shield TV<\/a>. C'est donc sans surprise que l'on constate des performances de tr\u00e8s haut vol pour le processeur 8 c\u0153urs et sa puce graphique Maxwell compos\u00e9e de 256 c\u0153urs CUDA.<\/p>\n
Benchmarks de la Google Pixel C<\/b><\/caption>\n AnTuTu<\/strong><\/td>\n 92219<\/td>\n<\/tr>\n Geekbench 3<\/b> (Single-Core \/ Multi-Core)<\/td>\n 1407 \/ 4199<\/td>\n<\/tr>\n Basemark OS II\u00a0<\/b>(Overall \/ System \/ Memory \/ Graphics \/ Web)<\/td>\n 1935 \/ 2719 \/ 887 \/ 6318 \/ 919<\/td>\n<\/tr>\n GFX Bench Manhattan ES 3.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n 1575 \/ 3017<\/td>\n<\/tr>\n GFX Bench T-Rex ES 2.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n 2533 \/ 4747<\/td>\n<\/tr>\n PC Mark<\/strong><\/td>\n 6909<\/td>\n<\/tr>\n 3D Mark Unlimited<\/strong><\/td>\n 40469<\/td>\n<\/tr>\n Basemark X<\/strong> (High Quality)<\/td>\n 40615<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\nNous aurions simplement aim\u00e9 y voir le service GeForce Now pour jouer en streaming. Mais il semble que Nvidia r\u00e9serve cette fonctionnalit\u00e9 \u00e0 ses propres produits comme la Nvidia Shied Tablet K1<\/a>.<\/p>\n
Une interface pour tablette, pas pour PC<\/span><\/h2>\n<\/p>\n
C'est bien s\u00fbr Android Marshmallow dans sa version 6.0 qui est livr\u00e9e avec cette Pixel C. Google oblige, nous sommes dans une version stock Android, tout ce qu'il y a de plus pure. On ne reviendra pas en d\u00e9tail dessus, nous vous l'avons d\u00e9j\u00e0 pr\u00e9sent\u00e9 dans notre test d'Android Marshmallow<\/a>, ou encore sur le test du Nexus 6P<\/a> ou 5X.<\/p>\n
La barre des notifications ne prend pas toute largeur de l'\u00e9cran et peut \u00eatre d\u00e9roul\u00e9e \u00e0 trois endroits diff\u00e9rents\u00a0: gauche, centre ou droite. Mais on sent bien qu'Android 6.0<\/a>\u00a0est encore loin d'\u00eatre optimis\u00e9 pour un usage sur PC, ou m\u00eame dans une optique de productivit\u00e9.<\/p>\n
Nous avons eu l'occasion de tester le clavier de la Google Pixel C, qui est malheureusement optionnel. Pour l'obtenir, vous devez d\u00e9bourser 169\u20ac, en plus de 499\u20ac de la tablette. Il est tr\u00e8s classique et n'apporte rien de plus ou de moins que les claviers Bluetooth sous Android au niveau des touches. Ces derni\u00e8res sont suffisamment larges, avec une frappe confortable (m\u00eame si un petit temps d'adaptation est n\u00e9cessaire) qui a le bon go\u00fbt de ne pas faire trop de bruit.<\/p>\n
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La partie sup\u00e9rieure est dot\u00e9e d'un aimant qui permet de l'accrocher avec une puissance surprenant \u00e0 la tablette (ou au frigo si vous en avez envie). Vous avez ensuite simplement \u00e0 rabattre la tablette vers vous. La premi\u00e8re connexion est un peu violente tant la puissance magn\u00e9tique de l'aimant surprend. On est ensuite rassur\u00e9 par une telle solidit\u00e9. \u00c0 l'arri\u00e8re, quatre petits patins viennent assurer l\u2019adh\u00e9rence du clavier.<\/p>\n
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L'appairage du clavier \u00e0 la tablette se fait par Bluetooth. L\u2019association se fait assez facilement. Vous n'aurez ensuite plus \u00e0 le refaire tant que le Bluetooth est activ\u00e9. Il y a tout de m\u00eame un petit temps d'attente de quelques secondes avant que le clavier soit bien pris en compte lorsque vous le connectez. Le couple clavier-tablette est suffisamment \u00e9quilibr\u00e9 pour \u00eatre utilis\u00e9 dans diff\u00e9rentes situations, y compris sur les genoux.<\/p>\n
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Vous pouvez vous servir du clavier pour prot\u00e9ger l'\u00e9cran, mais attention \u00e0 le mettre du bon c\u00f4t\u00e9, sans quoi l'attache magn\u00e9tique ne se fera pas bien. Si l'\u00e9paisseur reste correcte, le poids grimpe tout de m\u00eame \u00e0 916 grammes. Vous ne pourrez pas simplement rabattre l'\u00e9cran comme sur un ordinateur portable. Vous devez d\u00e9solidariser le clavier de la tablette en les mettant \u00e0 plat et en tirant les deux parties de chaque c\u00f4t\u00e9.<\/p>\n
Ce clavier a bien s\u00fbr pour int\u00e9r\u00eat de transformer la tablette en petit PC d'appoint et en faire un outil de productivit\u00e9. Nous verrons un peu plus loin dans la partie logicielle si cela est bien le cas.<\/p>\n
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Un Ecran magnifique<\/span><\/h2>\nAttention, vous allez en prendre plein les yeux. Google ne nomme pas son ardoise \u00ab\u00a0Pixel\u00a0\u00bb pour rien. Le rendu de l'\u00e9cran est simplement magnifique, s\u00fbrement la meilleure sur une tablette Android \u00e0 ce jour. La dalle 10,2 pouces poss\u00e8de une d\u00e9finition Quad HD de 2560 x 1440 pixels, offrant \u00e0 l'\u00e9cran une r\u00e9solution confortable de 308 ppp.<\/p>\n
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Le contraste est excellent pour un \u00e9cran LCD, m\u00eame si l'AMOLED garde toujours l'avantage sur ce point, la luminosit\u00e9 maximum est tr\u00e8s bonne, tout comme la colorim\u00e9trie. Les angles de vues sont irr\u00e9prochables. Quand on propose une tablette haut de gamme orient\u00e9e multim\u00e9dia et productivit\u00e9, on se doit d'avoir un affichage au top, et c'est exactement ce que nous donne Google ici. De quoi sublimer tout ce qui s'affiche \u00e0 l'\u00e9cran.<\/p>\n
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Des Performances de haut vol<\/span><\/h2>\nLe dernier SoC Tegra X1 de chez Nvidia qui est embarqu\u00e9 dans la Google Pixel C. Nous avions d\u00e9j\u00e0 crois\u00e9 sa route dans notre test de la Nvidia Shield TV<\/a>. C'est donc sans surprise que l'on constate des performances de tr\u00e8s haut vol pour le processeur 8 c\u0153urs et sa puce graphique Maxwell compos\u00e9e de 256 c\u0153urs CUDA.<\/p>\n
Benchmarks de la Google Pixel C<\/b><\/caption>\n AnTuTu<\/strong><\/td>\n 92219<\/td>\n<\/tr>\n Geekbench 3<\/b> (Single-Core \/ Multi-Core)<\/td>\n 1407 \/ 4199<\/td>\n<\/tr>\n Basemark OS II\u00a0<\/b>(Overall \/ System \/ Memory \/ Graphics \/ Web)<\/td>\n 1935 \/ 2719 \/ 887 \/ 6318 \/ 919<\/td>\n<\/tr>\n GFX Bench Manhattan ES 3.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n 1575 \/ 3017<\/td>\n<\/tr>\n GFX Bench T-Rex ES 2.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n 2533 \/ 4747<\/td>\n<\/tr>\n PC Mark<\/strong><\/td>\n 6909<\/td>\n<\/tr>\n 3D Mark Unlimited<\/strong><\/td>\n 40469<\/td>\n<\/tr>\n Basemark X<\/strong> (High Quality)<\/td>\n 40615<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\nNous aurions simplement aim\u00e9 y voir le service GeForce Now pour jouer en streaming. Mais il semble que Nvidia r\u00e9serve cette fonctionnalit\u00e9 \u00e0 ses propres produits comme la Nvidia Shied Tablet K1<\/a>.<\/p>\n
Une interface pour tablette, pas pour PC<\/span><\/h2>\n<\/p>\n
C'est bien s\u00fbr Android Marshmallow dans sa version 6.0 qui est livr\u00e9e avec cette Pixel C. Google oblige, nous sommes dans une version stock Android, tout ce qu'il y a de plus pure. On ne reviendra pas en d\u00e9tail dessus, nous vous l'avons d\u00e9j\u00e0 pr\u00e9sent\u00e9 dans notre test d'Android Marshmallow<\/a>, ou encore sur le test du Nexus 6P<\/a> ou 5X.<\/p>\n
La barre des notifications ne prend pas toute largeur de l'\u00e9cran et peut \u00eatre d\u00e9roul\u00e9e \u00e0 trois endroits diff\u00e9rents\u00a0: gauche, centre ou droite. Mais on sent bien qu'Android 6.0<\/a>\u00a0est encore loin d'\u00eatre optimis\u00e9 pour un usage sur PC, ou m\u00eame dans une optique de productivit\u00e9.<\/p>\n
Le dernier SoC Tegra X1 de chez Nvidia qui est embarqu\u00e9 dans la Google Pixel C. Nous avions d\u00e9j\u00e0 crois\u00e9 sa route dans notre test de la Nvidia Shield TV<\/a>. C'est donc sans surprise que l'on constate des performances de tr\u00e8s haut vol pour le processeur 8 c\u0153urs et sa puce graphique Maxwell compos\u00e9e de 256 c\u0153urs CUDA.<\/p>\n
AnTuTu<\/strong><\/td>\n | 92219<\/td>\n<\/tr>\n |
Geekbench 3<\/b> (Single-Core \/ Multi-Core)<\/td>\n | 1407 \/ 4199<\/td>\n<\/tr>\n |
Basemark OS II\u00a0<\/b>(Overall \/ System \/ Memory \/ Graphics \/ Web)<\/td>\n | 1935 \/ 2719 \/ 887 \/ 6318 \/ 919<\/td>\n<\/tr>\n |
GFX Bench Manhattan ES 3.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n | 1575 \/ 3017<\/td>\n<\/tr>\n |
GFX Bench T-Rex ES 2.0\u00a0<\/strong>(Onscreen \/ Offscreen)<\/td>\n | 2533 \/ 4747<\/td>\n<\/tr>\n |
PC Mark<\/strong><\/td>\n | 6909<\/td>\n<\/tr>\n |
3D Mark Unlimited<\/strong><\/td>\n | 40469<\/td>\n<\/tr>\n |
Basemark X<\/strong> (High Quality)<\/td>\n | 40615<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\n Nous aurions simplement aim\u00e9 y voir le service GeForce Now pour jouer en streaming. Mais il semble que Nvidia r\u00e9serve cette fonctionnalit\u00e9 \u00e0 ses propres produits comme la Nvidia Shied Tablet K1<\/a>.<\/p>\n Une interface pour tablette, pas pour PC<\/span><\/h2>\n |