Salto conna\u00eet plut\u00f4t un bon d\u00e9marrage en France.\u00a0 La plateforme de streaming a s\u00e9duit plus de 100 000 abonn\u00e9s en trois semaines, ce qui est comparable au lancement de Netflix. Le directeur g\u00e9n\u00e9ral de la plateforme, Thomas Follin, donne un premier aper\u00e7u de la sociologie des abonn\u00e9s.<\/strong><\/p>\n
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Qui a dit que Salto \u00e9tait condamn\u00e9 \u00e0 l'\u00e9chec ? Les premiers chiffres<\/strong> semblent en effet totalement d\u00e9mentir ce que l'on craignait plusieurs mois en amont du lancement<\/strong> de la plateforme de streaming. A en croire Le Figaro, Salto est en effet parvenu \u00e0 g\u00e9n\u00e9rer plus de 100 000 inscriptions en \u00e0 peine 3 semaines<\/strong>. Ce qui est comparable au lancement de Netflix en France, qui avait g\u00e9n\u00e9r\u00e9 100 000 inscriptions en deux semaines.<\/p>\n
Pourtant comme vous le savez la partie \u00e9tait loin d'\u00eatre gagn\u00e9e. D'abord parce que la concurrence est devenue particuli\u00e8rement rude. Salto a le m\u00eame positionnement tarifaire que Disney+ (d\u00e8s 6,99\u20ac par mois)<\/a> et est donc plus cher que Amazon Prime Video<\/a>. Certes, le service est moins cher que Netflix<\/a>, mais il a encore une r\u00e9putation \u00e0 se faire. Or, les mois qui ont pr\u00e9c\u00e9d\u00e9 le lancement de Salto ont surtout \u00e9t\u00e9 caract\u00e9ris\u00e9s par des h\u00e9sitations et des ambitions \u00e0 la baisse<\/a>.<\/p>\n