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C'est la douche froide pour Free. Lors de la pr\u00e9sentation des r\u00e9sultats du premier semestre 2020, le directeur g\u00e9n\u00e9ral du groupe Illiad (maison m\u00e8re de Free) Thomas Reynaud a annonc\u00e9 une terrible nouvelle pour l'op\u00e9rateur<\/strong> : “Nous n'avons pas \u00e9t\u00e9 autoris\u00e9s \u00e0 d\u00e9ployer des \u00e9quipements Huawei, \u00e0 la diff\u00e9rence de Bouygues et SFR. Nous regrettons cette diff\u00e9rence de traitement”,<\/em> d\u00e9nonce le patron.<\/p>\n
L'Anssi, l'Agence nationale de la s\u00e9curit\u00e9 des syst\u00e8mes d'information, n'a pas donn\u00e9 son autorisation \u00e0 Free pour utiliser du mat\u00e9riel Huawei<\/strong> pour b\u00e2tir son r\u00e9seau 5G. Une incompr\u00e9hension totale pour Thomas Reynaud, qui ne comprend pas pourquoi son entreprise est priv\u00e9e de cette autorisation, \u00e0 l'inverse de Bouygues et SFR :<\/p>\n
“Soit certains \u00e9quipements sont consid\u00e9r\u00e9s comme dangereux et personne ne peut les utiliser, soit ils ne sont pas consid\u00e9r\u00e9s comme dangereux et ils peuvent \u00eatre utilis\u00e9s par les quatre op\u00e9rateurs. Cette rupture d'\u00e9galit\u00e9 pose probl\u00e8me”,\u00a0<\/em>a-t-il expliqu\u00e9 devant la presse. Comme le rappelle le responsable, il est vrai que les deux concurrents ont pu d\u00e9ployer des milliers d'antennes estampill\u00e9es Huawei<\/strong>.<\/p>\n
\u00c0 lire \u00e9galement : Free – 3% du territoire fran\u00e7ais est toujours priv\u00e9 du r\u00e9seau 4G de l\u2019op\u00e9rateur<\/a><\/strong><\/p>\n