Facebook refuse toujours de mod\u00e9rer les publications controvers\u00e9es de Donald Trump. Malgr\u00e9 la d\u00e9mission de plusieurs cadres, la d\u00e9fection de Talkspace et la pression exerc\u00e9e par des centaines d'employ\u00e9s, Mark Zuckerberg ne s'alignera pas sur l'exemple de Twitter. Le fondateur du r\u00e9seau\u00a0social estime en effet que les posts du pr\u00e9sident\u00a0am\u00e9ricain n'incitent pas \u00e0 la violence.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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Contrairement \u00e0 Twitter, Facebook<\/a> a d\u00e9cid\u00e9 de ne pas mod\u00e9rer les posts o\u00f9 Donald Trump menace explicitement d'abattre les \u00e9meutiers de Minneapolis. L'absence de r\u00e9action du r\u00e9seau social a provoqu\u00e9 la col\u00e8re de ses salari\u00e9s. Pour protester contre l'inaction de Zuckerberg, des centaines d'employ\u00e9s ont organis\u00e9 une marche virtuelle<\/a> ce lundi 1er juin.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet : <\/strong>Mark Zuckerberg estime que Facebook est num\u00e9ro un sur la libert\u00e9 d\u2019expression<\/strong><\/a><\/p>\n