L\u2019association La Quadrature de Net, association de d\u00e9fense des libert\u00e9s sur Internet, rejette le projet d\u2019application de tra\u00e7age du gouvernement connu sous le nom de StopCovid. Elle explique que cette technologie ne serait pas forc\u00e9ment probante selon les conditions et pourrait m\u00eame devenir liberticide. Explications.<\/strong><\/p>\n
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Du discours d\u2019Emmanuel Macron lundi soir, la majorit\u00e9 des t\u00e9l\u00e9spectateurs aura retenu la date du 11 mai<\/strong>, comme le d\u00e9but du d\u00e9confinement des Fran\u00e7ais, m\u00eame si le processus sera long et rigoureux. En effet, si sa propagation a \u00e9t\u00e9 ralentie, le coronavirus est toujours parmi nous. Pour que la France reprenne un rythme de vie normale, il faudra continuer d\u2019adopter les gestes barri\u00e8re<\/strong> et passer par quelques \u00e9tapes transitoires.<\/p>\n
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Si la question des masques, des gants et des tests s\u00e9rologiques<\/strong> a \u00e9t\u00e9 abord\u00e9e dans le discours, il y en a une autre qui commence \u00e0 faire d\u00e9bat\u00a0: celle de l\u2019application pour tracer les contacts entre les Fran\u00e7ais<\/a>. Le projet, connu sous le nom de StopCovid<\/a>, a \u00e9t\u00e9 abord\u00e9 dans nos colonnes \u00e0 plusieurs reprises, notamment parce que le minist\u00e8re de l\u2019Int\u00e9rieur y est favorable, ainsi que plusieurs organismes scientifiques<\/a>. Il fera l\u2019objet d\u2019un d\u00e9bat parlementaire<\/strong> pour s\u2019assurer que les libert\u00e9s individuelles ne soient pas mises en danger. Et la CNIL a d\u2019ores et d\u00e9j\u00e0 fait savoir qu\u2019elle \u00e9tudierait aussi la proposition.<\/p>\n