Voil\u00e0 une d\u00e9claration pour le moins surprenante, mais pourtant assum\u00e9e : gr\u00e2ce \u00e0 la \u00ab latence n\u00e9gative \u00bb, Google Stadia serait capable de compenser les temps d'attente dus au streaming, voire de carr\u00e9ment anticiper l\u2019action d\u2019un joueur gr\u00e2ce \u00e0 l\u2019intelligence artificielle !<\/strong><\/p>\n
<\/p>\n
En novembre prochain, Google va lancer son service de streaming de jeux vid\u00e9o, Google Stadia, dans 14 pays, dont la France<\/a>. Avec la possibilit\u00e9 pour les clients de jouer \u00e0 des titres comme Assassin\u2019s Creed Odyssey ou Read Dead Redemption 2<\/a> directement sur leur TV via Chromecast ou encore sur leur tablette ou smartphone, le service risque d\u2019attirer pas mal de curieux. Reste une question primordiale\u00a0: la latence<\/strong>. Une donn\u00e9e qui peut vite devenir probl\u00e9matique, surtout lorsque les centres de donn\u00e9es sont potentiellement situ\u00e9s \u00e0 des centaines de kilom\u00e8tres d'un utilisateur. Mais ce point ne semble pas inqui\u00e9ter les \u00e9quipes de Google, bien au contraire. Selon Madj Bakar, vice-pr\u00e9sident de l\u2019ing\u00e9nierie pour Google Stadia, le service deviendra m\u00eame plus rapide qu\u2019une machine locale d\u2019ici \u00ab un an ou deux \u00bb.<\/strong><\/p>\n