SFR estime que l'arriv\u00e9e de Free a retard\u00e9 le d\u00e9ploiement des infrastructures r\u00e9seau en France. Avec ses prix cass\u00e9s, le trublion des t\u00e9l\u00e9coms\u00a0aurait\u00a0indirectement r\u00e9duit les capacit\u00e9s\u00a0d'investissement de tous les\u00a0op\u00e9rateurs fran\u00e7ais, notamment dans le domaine de la fibre\u00a0optique. Un avis partag\u00e9 par son rival Orange.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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“L\u2019arriv\u00e9e de Free a retard\u00e9 le d\u00e9veloppement des infrastructures en France parce que les op\u00e9rateurs avaient moins de moyens pour investir”<\/em> tacle Alain Weill, PDG d'Altice-SFR, dans une interview accord\u00e9e \u00e0 nos confr\u00e8res de Ouest-France. Dans son allocation, le dirigeant pointe surtout du doigt l'arriv\u00e9e de Free Mobile sur le march\u00e9 fran\u00e7ais en 2012<\/a>.<\/p>\n