WhatsApp a admis qu'une faille de s\u00e9curit\u00e9 de son application de messagerie avait permis d'espionner le smartphone de certains utilisateurs. Pas \u00e9tonnant selon un cofondateur de Telegram, pour qui le service rachet\u00e9 par Facebook n'a jamais \u00e9t\u00e9 s\u00e9curis\u00e9.<\/strong><\/p>\n
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Nous vous rapportions le 14 mai 2019 que vous deviez vite mettre \u00e0 jour votre application WhatsApp<\/a> car celle-ci \u00e9tait victime d'une faille de s\u00e9curit\u00e9. Elle permettait \u00e0 un pirate d\u2019injecter des malwares \u00e0 distance sur des smartphones Android et iOS. Un spyware r\u00e9pondant au nom de Pegasus a notamment \u00e9t\u00e9 rep\u00e9r\u00e9 et aurait servi \u00e0 espionner les smartphones de militants des droits de l'homme.<\/p>\n