Vodafone a d\u00e9couvert des backdoors dans les \u00e9quipements r\u00e9seau con\u00e7us par Huawei. Ces portes d\u00e9rob\u00e9es ont \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9es par la filiale italienne de l'op\u00e9rateur. Les faits remontant \u00e0 2012, Huawei affirme avoir\u00a0rapidement corrig\u00e9s ces failles. Selon Bloomberg, ces portes d\u00e9rob\u00e9es sont rest\u00e9es pr\u00e9sentes dans des \u00e9quipements fournis par l'entreprise chinoise,\u00a0r\u00e9guli\u00e8rement accus\u00e9e d'espionnage, bien au-del\u00e0 de 2012. On fait le point.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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Alors que la plupart des pays europ\u00e9ens ont d\u00e9cid\u00e9 de continuer \u00e0 collaborer avec Huawei pour le d\u00e9ploiement de la 5G<\/a> malgr\u00e9 la pression exerc\u00e9e par les Etats-Unis, Bloomberg<\/a> a d\u00e9terr\u00e9 des incidents qui remontent \u00e0 2012 et qui pourraient \u00e9corner un peu plus l'image de l'entreprise chinoise qui fait d\u00e9j\u00e0 l'objet d'une m\u00e9fiance de la part de ses partenaires.<\/p>\n
Depuis plusieurs mois, les USA accusent en effet Huawei de cacher des logiciels espion dans ses produits. Le constructeur nie fermement fournir des informations au gouvernement chinois. Liang Hua,\u00a0directeur financier par int\u00e9rim de l\u2019entreprise, affirme m\u00eame que Huawei ne laisse pas de porte d\u00e9rob\u00e9e \u00e0 destinations d'espions chinois<\/a>.<\/p>\n