Cr\u00e9dit : bfishadow \/ Flickr<\/figcaption><\/figure>\n
D'apr\u00e8s des documents qui ont fuit\u00e9 et qui ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9v\u00e9l\u00e9s par The Intercept, Google va faire son retour en Chine avec un moteur de recherche sur mesure<\/strong> et filtr\u00e9 qui se plie aux exigences de la censure du gouvernement chinois<\/strong>.\u00a0 Nom du projet : Dragonfly (libellule), que Google pr\u00e9voit de lancer d'ici 6 \u00e0 9 mois.\u00a0The Intercept explique que Google a tout fait pour que son projet reste secret. Seulement une centaine d\u2019employ\u00e9s \u00e9taient au courant pour Dragonfly, supervis\u00e9 par les plus hauts cadres de la soci\u00e9t\u00e9s afin d\u2019\u00e9viter au mieux les fuites. Rat\u00e9.<\/p>\n
Google aurait ainsi cr\u00e9e une application Android, qui a \u00e9t\u00e9 propos\u00e9e \u00e0 soumission aux autorit\u00e9s chinoises. Selon les documents, celle-ci va “blacklister les requ\u00eates sensibles”<\/em> et filtrer par d\u00e9faut les sites web d\u00e9sign\u00e9s par le gouvernement. La censure concernera \u00e9galement les r\u00e9sultats d'images, la correction orthographique et les recherches sugg\u00e9r\u00e9es. Si le moteur de recherche n'affiche pas un r\u00e9sultat \u00e0 cause de cette censure, l'internaute sera alors pr\u00e9venu par un encart de type “Certains r\u00e9sultats peuvent avoir \u00e9t\u00e9 supprim\u00e9s pour des raisons l\u00e9gales”.<\/p>\n