Sur Facebook, les r\u00e9seaux sociaux et m\u00eame plus g\u00e9n\u00e9ralement internet, s'en prendre \u00e0 son patron ou son employeur n'est pas sans cons\u00e9quence. Plusieurs cas de licenciements pour faute grave ont d\u00e9j\u00e0 eu lieu en France, dont la l\u00e9galit\u00e9 a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par la justice. Plus surprenant, m\u00eame les messages priv\u00e9s peuvent vous co\u00fbter cher.\u00a0<\/strong><\/p>\n
On ne le r\u00e9p\u00e9tera jamais assez, faites bien attention \u00e0 ce que vous \u00e9crivez sur les r\u00e9seaux sociaux, tout ce que vous d\u00eetes pourra \u00eatre retenu contre vous. Notamment si vous tenez \u00e0 votre emploi, \u00e9vitez de critiquer votre patron sur Facebook ou n'importe quel site internet. Le Monde rapporte que dans un arr\u00eat rendu le 11 avril, la Cour de cassation a jug\u00e9 que le licenciement d\u2019un salari\u00e9 pour faute grave<\/strong> n'\u00e9tait pas abusif suite \u00e0 des propos tenus publiquement sur la toile et d\u00e9nigrant sa soci\u00e9t\u00e9.<\/p>\n