Un puissant actionnaire de Facebook r\u00e9clame la d\u00e9mission de Mark Zuckerberg dans la foul\u00e9e du scandale Cambridge Analytica. Un appels dans un contexte tendu alors que le PDG de la firme doit r\u00e9pondre aux questions sur le scandale devant le Congr\u00e8s am\u00e9ricain. Pour autant, rien ne semble indiquer que quiconque puisse d\u00e9loger Mark Zuckerberg de son poste de PDG, puisque ce dernier poss\u00e8de suffisamment d'actions de classe B pour disposer \u00e0 lui seul de 60% des voix.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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Un puissant actionnaire Scott Stinger (il poss\u00e8de pour 895 millions de dollars en actions Facebook) a \u00e9crit fin mars une lettre au conseil d'administration de la firme : il y demande rien de moins que la d\u00e9mission de Mark Zuckerberg et que trois administrateurs soient nomm\u00e9s pour le remplacer, entre autres mesures choc pour sauver selon lui la r\u00e9putation de Facebook dans la foul\u00e9e du scandale Cambridge Analytica<\/a>. Alors que Mark Zuckerberg va devoir r\u00e9pondre aux questions du Congr\u00e8s am\u00e9ricain, nos confr\u00e8res du Washington Post se sont pos\u00e9 la question : les actionnaires peuvent-ils vraiment d\u00e9barquer Mark Zuckerberg ?<\/p>\n