Consid\u00e9r\u00e9 comme l\u2019un des n\u00b01 dans le monde, Facebook est le r\u00e9seau social o\u00f9 chacun peut y partager le contenu de son choix. Une libert\u00e9 d\u2019action quasi-totale qui s\u2019articule bien souvent par des publications en lien avec des th\u00e8mes sensibles comme la pornographie, le terrorisme, la violence, etc. Le journal The Guardian s\u2019est justement int\u00e9ress\u00e9 sur la mani\u00e8re dont sont trait\u00e9s ces probl\u00e8mes au sein de Facebook.<\/strong><\/p>\n
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Mise \u00e0 jour : suite \u00e0 la publication de notre article, Facebook a apport\u00e9 une r\u00e9ponse officielle. Vous trouverez cette d\u00e9claration en fin d'article.<\/em><\/p>\n
Totalisant plus d\u20191,23 milliard d\u2019utilisateurs actifs chaque jour au 31 d\u00e9cembre 2016 (contre 431 millions en 2010), Facebook fait office de poids lourd<\/a> dans l\u2019univers des r\u00e9seaux sociaux. L\u2019un des leaders m\u00eame aux c\u00f4t\u00e9s de YouTube<\/em> ou WhatsApp<\/em> pour ne citer qu\u2019eux.<\/p>\n
Bien entendu, Facebook a le contr\u00f4le de la situation et tente de garantir une certaine s\u00e9curit\u00e9 en supprimant aussi rapidement que possible les publications “inappropri\u00e9es” de ce type. \u00c1 une certaine \u00e9chelle tout du moins ! C\u2019est ce qu\u2019\u00e9voque justement le journal The Guardian<\/a>, qui prend soin de citer certaines directives prises en interne par Facebook.<\/p>\n