Un groupe d'auteurs, dont l'\u00e9crivain Ta-Nehisi Coates et l'humoriste Sarah Silverman, poursuit Meta en justice, accusant l'entreprise d'avoir sciemment utilis\u00e9 des livres pirat\u00e9s pour entra\u00eener ses mod\u00e8les d'intelligence artificielle.<\/strong><\/p>\n
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Selon des documents judiciaires rendus publics cette semaine en Californie, Mark Zuckerberg aurait personnellement approuv\u00e9 l'utilisation de contenus prot\u00e9g\u00e9s par le droit d'auteur pour entra\u00eener son intelligence artificielle.<\/strong><\/p>\n
Au c\u0153ur de cette controverse se trouve LibGen, une base de donn\u00e9es contenant environ 32 t\u00e9raoctets de livres num\u00e9ris\u00e9s<\/strong>, consid\u00e9r\u00e9e comme une \u00ab\u00a0biblioth\u00e8que de l'ombre<\/em>\u00a0\u00bb d'origine russe. D'apr\u00e8s les plaignants, des communications internes r\u00e9v\u00e8lent que Zuckerberg a valid\u00e9 l'utilisation de LibGen malgr\u00e9 les avertissements de son \u00e9quipe dirigeante concernant la nature pirat\u00e9e des contenus.<\/p>\n
Lire \u00e9galement<\/strong> – Le patron de l\u2019IA de Microsoft affirme que le contenu public sur Internet est libre d\u2019utilisation, et \u00e7a l\u2019arrange bien comme \u00e7a<\/a><\/p>\n