Prenant la succession de Wish<\/strong>, la plateforme de vente en ligne Temu<\/strong> a rapidement gagn\u00e9 en popularit\u00e9. G\u00e9r\u00e9 par la Chine, le service n'a pas manqu\u00e9 de soulever des interrogations quant au respect des donn\u00e9es priv\u00e9es<\/strong> de ses utilisateurs. Les soup\u00e7ons d'arnaques ou d'espionnage ne datent pas d'hier<\/a> et continuent de peser lourdement sur la r\u00e9putation de l'application. Le fait qu'elle fasse l'objet d'une enqu\u00eate de la Commission europ\u00e9enne<\/a> n'arrange pas les choses.<\/p>\n
Pourtant son succ\u00e8s de faiblit pas, au grand dam de certaines boutiques<\/a> ou des experts en cybers\u00e9curit\u00e9<\/strong>. Ce sont d'ailleurs eux qui tirent \u00e0 nouveau la sonnette d'alarme par l'interm\u00e9diaire du NTC<\/strong>, l'Institut national de test pour la cybers\u00e9curit\u00e9 <\/strong>suisse. Son rapport<\/a> incite fortement \u00e0 la prudence, notamment \u00e0 cause de deux points pr\u00e9cis qualifi\u00e9s par l'organisme de “comportements inhabituels<\/em>“.<\/p>\n
