Il y a tout juste un an, le march\u00e9 des voitures neuves<\/strong> en France<\/strong> affichait une croissance spectaculaire<\/strong>, d\u00e9fiant la tendance mondiale \u00e0 la baisse. En octobre 2023, les immatriculations de v\u00e9hicules neufs avaient bondi de 22 %<\/a>, port\u00e9es<\/strong> par des ventes de voitures \u00e9lectriques<\/strong> repr\u00e9sentant plus de la moiti\u00e9 des transactions<\/strong>. Cette dynamique s\u2019essouffle en octobre 2024<\/strong>, qui marque un retournement inqui\u00e9tant<\/strong> pour l\u2019industrie. Les immatriculations de voitures particuli\u00e8res neuves baissent de 11 %<\/strong>, avec une demande plus faible sur les mod\u00e8les \u00e9lectriques, qui pourtant avaient men\u00e9 cette croissance.<\/p>\n
Les ventes de voitures \u00e9lectriques<\/strong>, autrefois moteurs de croissance, sont particuli\u00e8rement touch\u00e9es cette ann\u00e9e. En octobre, elles chutent de 18 %<\/strong>, leur part de march\u00e9 passant de 17 % \u00e0 15 % en un an. La baisse des aides \u00e0 l\u2019achat<\/strong> et les discussions sur un malus \u00e9cologique renforc\u00e9<\/strong> semblent refroidir les acheteurs. Malgr\u00e9 cela, certains mod\u00e8les comme la Citro\u00ebn E-C3<\/a> et la Peugeot e-208<\/a> continuent d\u2019attirer l\u2019int\u00e9r\u00eat des Fran\u00e7ais. Elles d\u00e9montrent que la demande pour l\u2019\u00e9lectrique est pr\u00e9sente lorsqu\u2019elle r\u00e9pond aux attentes en mati\u00e8re de prix et d\u2019autonomie.<\/p>\n
