Sony sort sa PlayStation 5 Pro le 7 novembre. Cristallisant bien des interrogations, la console la plus puissante de tous les temps aura fort \u00e0 faire pour s\u2019imposer et poursuivre l\u2019h\u00e9ritage des extensions. Quand on regarde l\u2019histoire, ce n\u2019est pas forc\u00e9ment gagn\u00e9\u2026<\/strong><\/p>\n
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Ces derni\u00e8res ann\u00e9es, la notion d\u2019extension de consoles est presque devenue une norme. Plut\u00f4t que de se contenter d\u2019un relooking, les constructeurs ont choisi de proposer des versions am\u00e9lior\u00e9es de leurs machines existantes. La refonte en profondeur d\u2019une architecture repr\u00e9sente un co\u00fbt faramineux, mais en produisant les PS4 Pro, Xbox One S et autres Xbox One X, Sony et Microsoft ont r\u00e9ussi \u00e0 fid\u00e9liser leur communaut\u00e9, tout en prolongeant la dur\u00e9e de vie de leur \u00e9cosyst\u00e8me. Puissantes et ambitieuses, les consoles de jeu sont ainsi rentr\u00e9es dans un cycle qui \u00e9tait plut\u00f4t r\u00e9serv\u00e9 au monde de la micro-informatique. Certaines personnes diront que cette approche est antinomique pour un mat\u00e9riel plug-and-play, mais l\u2019existence de la PS5 Pro prouve que cette solution, bien que co\u00fbteuse,<\/a> est pratique pour \u00e9viter un surplus des investissements en mati\u00e8re de recherche et d\u00e9veloppement. On prend quelque chose qui existe d\u00e9j\u00e0 et on le transforme pour en faire un hardware encore plus puissant.<\/strong> De l\u00e0 \u00e0 sortir une console \u00e0 799 euros, les joueurs se feront leur propre avis sur la question\u2026<\/p>\n