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En f\u00e9vrier 2024, un homme du nom de Paul Merrell<\/strong>, 42 ans, est condamn\u00e9 \u00e0 12 mois de prison<\/strong> ferme<\/strong> pour avoir vendu des abonnements \u00e0 un service IPTV ill\u00e9gal<\/strong> au Royaume-Uni. Presque la routine pourrait-on dire. D'autant que le pays est connu pour d\u00e9livrer des sanctions s\u00e9v\u00e8res<\/a> se voulant dissuasives pour les personnes h\u00e9sitant \u00e0 se lancer sur ce march\u00e9. Il existe pourtant des cas particuliers, comme celui-ci o\u00f9 le “hacker” n'a pas du tout le profil auquel on s'attend.<\/p>\n
Pas de pass\u00e9 criminel, pas d'envie de d\u00e9velopper un r\u00e9seau international engrangeant des millions d'euros chaque jour. Juste un homme qui a vu une opportunit\u00e9 et l'a saisie na\u00efvement, sans vraiment comprendre dans quoi il mettait les pieds.<\/p>\n
Avant son arrestation, Paul Merrell \u00e9tait pr\u00e9fet des \u00e9tudes<\/strong> dans un \u00e9tablissement scolaire. C'est lui qui re\u00e7oit les \u00e9l\u00e8ves n\u00e9cessitant un suivi particulier. Il se d\u00e9voue totalement \u00e0 son travail, au point d'accepter un poste dans un autre \u00e9tablissement \u00e0 une heure de route, et ce malgr\u00e9 une baisse de presque 16 000 \u20ac sur son salaire annuel. Il \u00e9tait persuad\u00e9 qu'il pouvait redresser la barre de cette \u00e9cole en perdition, et il avait raison. Puis c'est le d\u00e9but des ennuis.<\/p>\n