Adobe est accus\u00e9 de pratiques commerciales frauduleuses par la FTC am\u00e9ricaine. Dans un document non censur\u00e9 du dossier, un cadre dirigeant de l\u2019\u00e9diteur compare les frais de r\u00e9siliation de certains abonnements \u00e0 une drogue dure. Il sous-entend que ces frais, cach\u00e9s lors de l\u2019inscription, font partie int\u00e9grante de la strat\u00e9gie d\u2019Adobe. Un porte-parole s\u2019en d\u00e9fend.<\/strong><\/p>\n
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Certains logiciels d\u2019Adobe sont des standards incontournables dans le domaine de la cr\u00e9ation assist\u00e9e par ordinateur. Premiere. Photoshop. Illustrator. Lightroom. Acrobat. La liste est longue. Et les co\u00fbts peuvent \u00eatre sacr\u00e9ment \u00e9lev\u00e9s. D\u2019autant qu\u2019il est d\u00e9sormais impossible d\u2019acheter une licence \u00e0 vie. Il faut s\u2019abonner. Plusieurs formules sont propos\u00e9es. Mais la plus avantageuse reste l\u2019abonnement annuel de Creative Cloud qui promet jusqu\u2019\u00e0 40 % de r\u00e9duction<\/strong> par rapport \u00e0 la formule mensuelle. Une condition : il y a un engagement.<\/p>\n
Il y a un mois, nous rapportions dans nos colonnes une plainte contre Adobe d\u00e9pos\u00e9e par la fameuse FTC am\u00e9ricaine<\/a> (Federal Trade Commission). Elle accuse l\u2019\u00e9diteur de pratiques commerciales frauduleuses. Selon elle, Adobe cache volontairement les conditions et les co\u00fbts de r\u00e9siliation anticip\u00e9e \u00e0 la formule annuelle<\/strong>. Une formule qui est justement celle que l\u2019\u00e9diteur met le plus en avant sur son site. Et quand l\u2019abonn\u00e9 veut r\u00e9silier, il apprend le montant r\u00e9el et dissuasif de l\u2019op\u00e9ration.<\/p>\n