Cr\u00e9dits : Flow Computing<\/figcaption><\/figure>\n
Les processeurs<\/strong> qui \u00e9quipent nos ordinateurs<\/strong>, nos smartphones<\/strong> et autres appareils du m\u00eame genre sont de plus en plus puissants. Les innovations s'encha\u00eenent dans ce secteur, \u00e0 tel point que l'on parle assez r\u00e9guli\u00e8rement de r\u00e9volution<\/a>. L'invention de la startup finlandaise Flow Computing pourrait bien en \u00eatre une. Elle a mis au point une puce appel\u00e9e Parallel Processing Unit<\/strong> (PPU, ou Unit\u00e9 de Traitement Parall\u00e8le dans la langue de Moli\u00e8re). Son utilit\u00e9 ? Augmenter la puissance de n'importe quel processeur, jusqu'\u00e0 100 fois<\/strong>.<\/p>\n
De l'aveu m\u00eame des ing\u00e9nieurs derri\u00e8re le projet, cette affirmation est risible. Et pourtant, ils auraient r\u00e9ussi l'impossible. Pour comprendre comment fonctionne leur PPU, il faut savoir qu'un processeur, aussi rapide soit-il, ne peut effectuer qu'une op\u00e9ration \u00e0 la fois<\/strong>. Pour simplifier, m\u00eame si le CPU accompli une t\u00e2che en une nanoseconde, il doit quand m\u00eame la finir avant de passer \u00e0 la suivante. C'est sur ce point que la puce de Flow veut agir.<\/p>\n