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Adobe, c\u00e9l\u00e8bre pour sa suite de logiciels (Photoshop<\/strong>, Premiere Pro<\/strong>, Acrobat Reader<\/strong>…), doit se pr\u00e9parer \u00e0 de longs mois de gal\u00e8re. Pas au niveau financier, loin de l\u00e0 : l'entreprise affiche 14,22 milliards de dollars<\/strong> de revenus en 2023. C'est plut\u00f4t au niveau de ses pratiques commerciales qu'il y a un probl\u00e8me. Fin 2023, la Commission f\u00e9d\u00e9rale du commerce (FTC) ouvre une enqu\u00eate sur la proc\u00e9dure de r\u00e9siliation de Creative Cloud<\/a>, l'abonnement aux programmes de la firme. Elle veut savoir si cette derni\u00e8re fait expr\u00e8s de la rendre difficile<\/strong>. Une pratique malheureusement courante auquel le gouvernement fran\u00e7ais a voulu mettre fin<\/a> l'\u00e9t\u00e9 pass\u00e9.<\/p>\n
De son c\u00f4t\u00e9, le D\u00e9partement de Justice<\/a> am\u00e9ricain (DOJ) d\u00e9cide de porter plainte contre Adobe<\/strong>. Selon lui, il y a en effet une volont\u00e9 de complexifier la r\u00e9siliation<\/strong>, mais pas que. Les offres ne seraient pas assez explicites<\/strong>, tandis que des informations importantes comme les frais de r\u00e9siliation anticip\u00e9s<\/strong> seraient dissimul\u00e9s derri\u00e8res des liens et des petites ic\u00f4nes<\/strong> tr\u00e8s faciles \u00e0 manquer. Force est de constater que sur ce point, le plaignant a plut\u00f4t raison.<\/p>\n