Au sein de l'immense biblioth\u00e8que num\u00e9rique qu'est The Pirate Bay, un torrent d\u00e9fie le temps et les tendances \u00e9ph\u00e9m\u00e8res. Un \u00e9pisode de la s\u00e9rie “High Chaparral” se distingue par sa long\u00e9vit\u00e9 exceptionnelle, c\u00e9l\u00e9brant ses vingt ans d'existence sur la plateforme. Ce ph\u00e9nom\u00e8ne montre la capacit\u00e9 de certains contenus \u00e0 traverser les d\u00e9cennies.<\/strong><\/p>\n
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Dans l'univers fluctuant du partage de fichiers en ligne, The Pirate Bay<\/strong>, dont l\u2019url a r\u00e9cemment \u00e9t\u00e9 retir\u00e9e de Google<\/a>, occupe une place \u00e0 part. Lanc\u00e9 \u00e0 l'aube du mill\u00e9naire, ce site est rapidement devenu le havre de pr\u00e9dilection pour les amateurs de contenus num\u00e9riques du monde entier. \u00c0 une \u00e9poque o\u00f9 internet commen\u00e7ait tout juste \u00e0 remodeler les industries culturelles, cette plateforme impossible \u00e0 arr\u00eater<\/a> s'est \u00e9rig\u00e9e en symbole de la r\u00e9sistance<\/strong> contre les conventions \u00e9tablies de la distribution de m\u00e9dias. Au-del\u00e0 de sa simple fonction de r\u00e9pertoire de torrents, il incarne une certaine id\u00e9e de la libert\u00e9 sur internet.<\/strong><\/p>\n