Source : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
L'\u00e8re num\u00e9rique est t\u00e9moin de diverses supercheries<\/strong>, allant des plus ing\u00e9nieuses aux plus burlesques. Parmi elles, certaines sortent du lot par leur originalit\u00e9<\/strong>, comme celle d'une Irlandaise perdant une somme colossale suite \u00e0 une simple photo sur Facebook<\/a>, ou encore l'\u00e9trange disparition d'une antenne radio<\/a> en Alabama, rappelant les tours de magie d'un certain David Copperfield. Ces incidents, bien qu'\u00e9loign\u00e9s, partagent un fil commun avec notre histoire vend\u00e9enne : l'audace des protagonistes<\/strong>.<\/p>\n
C'est dans ce contexte qu'\u00e9merge l'affaire d'un homme en Vend\u00e9e, ayant d\u00e9cid\u00e9 d'emprunter une voie pour le moins atypique<\/strong> dans l'univers de l'escroquerie. Proposant des consoles de jeux \u00e0 prix r\u00e9duit, son offre semblait trop belle pour \u00eatre vraie. Et pour cause, malgr\u00e9 l'apparente bonne affaire, les clients flou\u00e9s ne verraient jamais la couleur des produits promis. Ce qui distingue ce cas des arnaques classiques n'est autre que l'utilisation par l'escroc de ses propres informations personnelles<\/strong>, facilitant grandement le travail des enqu\u00eateurs.<\/p>\n