Le navigateur Tor se dote d'une nouvelle fonctionnalit\u00e9 capable de contourner plus efficacement la censure mise en place dans certains pays. L'id\u00e9e est d'imiter une connexion classique en HTTPS.
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\u00c0 c\u00f4t\u00e9 de Chrome<\/strong>, Edge<\/strong>, Firefox<\/strong> ou Safari<\/strong>, il existe d'autres navigateurs Web plus confidentiels, mais qui n'ont pas sp\u00e9cialement l'objectif de devenir “grand public”. On pense \u00e0 ceux qui visent la protection de la vie priv\u00e9e<\/strong>. Parmi eux, Tor<\/a> est l'un des plus connus. Avec son syst\u00e8me de couches, d'o\u00f9 le logo repr\u00e9sentant un oignon, le navigateur rend votre trafic Internet le plus anonyme possible<\/strong> en le faisant d'abord passer par plusieurs relais al\u00e9atoires<\/strong>.<\/p>\n
Tor n'est pas seulement utilis\u00e9 pour surfer sur le Dark Web<\/a>. Dans les pays o\u00f9 Internet est \u00e9troitement surveill\u00e9, voire censur\u00e9, il sert aux journalistes ou aux lanceurs d'alertes afin qu'ils puissent continuer \u00e0 surfer “normalement”. Pour lutter encore plus efficacement, Tor lance une nouvelle fonctionnalit\u00e9 : le WebTunnel<\/strong>. Les d\u00e9veloppeurs rappellent qu'un syst\u00e8me de ce genre “est crucial pour rendre Tor plus r\u00e9sistant \u00e0 la censure et garder une longueur d'avance sur ses adversaires dans un environnement elle est tr\u00e8s dynamique et en constante \u00e9volution<\/em>“.<\/p>\n