Cr\u00e9dits : Adobe Stock<\/figcaption><\/figure>\n
Nous ne sommes pas encore \u00e0 c\u00f4toyer des cyborgs<\/strong> au quotidien, mais croiser des personnes poss\u00e9dant un implant sophistiqu\u00e9<\/strong> dans le corps est une r\u00e9alit\u00e9 qui a d\u00e9j\u00e0 pas mal d'ann\u00e9es. \u00c0 mesure que cette technologie progresse, on voit appara\u00eetre des chargeurs sans fil greff\u00e9s sous la peau<\/a>, une puce sous-cutan\u00e9e pour payer et ouvrir sa voiture<\/a>, ou le fameux implant c\u00e9r\u00e9bral Neuralink d'Elon Musk, qui pourrait gu\u00e9rir certaines maladies<\/a>. En m\u00e9decine justement, on d\u00e9veloppe de plus en plus de neuroproth\u00e8ses<\/strong>. Elles interagissent avec le syst\u00e8me nerveux pour que le patient retrouve une facult\u00e9 perdue<\/strong>. La vue en fait partie.<\/p>\n
La r\u00e9tinite pigmentaire<\/strong> ou la d\u00e9g\u00e9n\u00e9rescence maculaire li\u00e9e \u00e0 l'\u00e2ge<\/strong> (DMLA) sont deux exemples de maladies oculaires d\u00e9g\u00e9n\u00e9ratives<\/strong>. Elles touchent les photor\u00e9cepteurs<\/strong>, ces cellules de la r\u00e9tine qui captent la lumi\u00e8re, et peuvent \u00e0 terme rendre aveugle<\/strong>. Comme le rappelle le docteur Udo Roemer, ing\u00e9nieur sp\u00e9cialis\u00e9 dans le photovolta\u00efque<\/strong> : “on a longtemps pens\u00e9 que des implants biom\u00e9dicaux dans la r\u00e9tine pourraient remplacer les photor\u00e9cepteurs endommag\u00e9s.<\/em> […] Des essais ont d\u00e9j\u00e0 eu lieu avec cette technologie. Mais le probl\u00e8me est qu\u2019elle n\u00e9cessite que des fils soient ins\u00e9r\u00e9s dans l\u2019\u0153il, ce qui est une proc\u00e9dure compliqu\u00e9e<\/em>“. La solution ? Passer au sans fil gr\u00e2ce en implantant des panneaux solaires dans les yeux<\/strong>.<\/p>\n