Il est loin le temps o\u00f9 les r\u00e9seaux sociaux<\/strong> faisaient \u00e0 peu pr\u00e8s ce qu'ils voulaient. En Europe, les r\u00e9gulations successives et surtout la loi sur les services num\u00e9riques<\/a> (DSA) ont largement contribu\u00e9 \u00e0 mettre de l'ordre dans tout \u00e7a. De nombreuses voix s'\u00e9l\u00e8vent depuis plusieurs ann\u00e9es pour souligner l'impact de ces plateformes sur la sant\u00e9 mentale des jeunes<\/a>, ce qui aboutit aujourd'hui au d\u00e9ploiement de mesures de protection<\/a>. Le r\u00e9seau chinois TikTok<\/strong> a encore du chemin a faire \u00e0 ce niveau l\u00e0. L'Union europ\u00e9enne lui a d\u00e9j\u00e0 inflig\u00e9 une amende de 345 millions d'euros<\/a>, et c'est maintenant une enqu\u00eate<\/strong> que vient de lancer l'institution.<\/p>\n
“La Commission europ\u00e9enne a ouvert une proc\u00e9dure formelle pour \u00e9valuer si TikTok a pu enfreindre la loi sur les services num\u00e9riques (DSA) dans des domaines li\u00e9s \u00e0 la protection des mineurs, \u00e0 la transparence de la publicit\u00e9, \u00e0 l'acc\u00e8s aux donn\u00e9es pour les chercheurs, ainsi qu'\u00e0 la gestion des risques li\u00e9s \u00e0 la conception addictive et aux contenus pr\u00e9judiciables<\/em>“, lit-on dans un communiqu\u00e9 de presse<\/a>. Il s'agit en substance de v\u00e9rifier si TikTok se conforme bien au DSA<\/strong> sur diff\u00e9rents aspects, notamment ceux qui concernent la protection des mineurs<\/strong>.<\/p>\n
