Cr\u00e9dits : 123RF<\/figcaption><\/figure>\n
On ne compte plus les avanc\u00e9es dans le domaine de l'intelligence artificielle<\/strong>. De plus en plus, elle se perfectionne au point de s'inviter dans des domaines o\u00f9, spontan\u00e9ment, on imagine mal qu'elle replacera l'humain<\/strong>. Et pourtant. En m\u00e9decine, l'IA peut d\u00e9tecter des maladies avec 100 % d\u2019efficacit\u00e9<\/a>, m\u00eame si plus globalement, les erreurs de diagnostics sont toujours l\u00e0<\/a>. M\u00eame un secteur aussi complexe que celui de la sant\u00e9 mentale commence \u00e0 \u00eatre investi par des chatbots au succ\u00e8s grandissant<\/a>. Depuis le 1er janvier 2024, c'est le droit qui fait parler de lui \u00e0 travers une application mobile<\/strong> disponible sur iOS : I.Avocat<\/strong>.<\/p>\n
Sur sa page, on peut lire que “iAvocat est bien plus qu'une simple application, c'est votre avocat virtuel personnel, pr\u00eat \u00e0 r\u00e9pondre \u00e0 toutes vos questions juridiques avec pr\u00e9cision et fiabilit\u00e9”. Cr\u00e9\u00e9e par l'entrepreneur lyonnais Issam Reghi<\/strong>, elle s'est nourrie de 50 ann\u00e9es de d\u00e9cisions judiciaires<\/strong> ainsi que des programmes de l'\u00e9cole du barreau<\/strong> (qui forme les avocats<\/strong>) et de la magistrature<\/strong>. Cela repr\u00e9sente 11 millions de donn\u00e9es<\/strong>, ce que bien s\u00fbr un \u00eatre humain ne peut pas retenir lui-m\u00eame.<\/p>\n