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Les malwares<\/strong>, c'est un peu comme les spams<\/strong> dans notre bo\u00eete mail. On aura beau lutter contre, il y en aura toujours. \u00c7a n'emp\u00eache pas de d\u00e9velopper des outils pour s'en pr\u00e9munir, anti-virus<\/strong> en t\u00eate, ou d'ajouter des fonctions \u00e0 un syst\u00e8me existant comme sur le Play Store<\/a>. Le probl\u00e8me, c'est que “tous les antivirus que l'on a aujourd'hui sur nos ordinateurs sont d\u00e9faillants, car ils sont con\u00e7us pour identifier les virus d\u00e9j\u00e0 connus. D\u00e8s qu'un programme sort de ce p\u00e9rim\u00e8tre, par exemple s'il a \u00e9t\u00e9 construit sp\u00e9cifiquement pour vous attaquer, ils ne le rep\u00e8rent plus”, constate R\u00e9gis Lhoste, dirigeant de la start-up Cyber-Dectect<\/strong>.<\/p>\n
Son entreprise a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e pour vendre un produit bien sp\u00e9cifique : un anti-virus capable de d\u00e9tecter les malwares bien s\u00fbr, mais surtout leurs variantes<\/strong>. Moins faciles \u00e0 rep\u00e9rer, elles peuvent devenir un vrai danger pour nos informations personnelles<\/a>. C'est dans le Laboratoire de haute s\u00e9curit\u00e9<\/strong> (LHS) du Loria<\/strong> (Laboratoire lorrain de recherche en informatique et ses applications) \u00e0 Nancy que l'outil a vu le jour. Il a \u00e9t\u00e9 con\u00e7u gr\u00e2ce \u00e0 l'analyse de 35 millions de malwares<\/strong>.<\/p>\n