Inutile de tergiverser. Quand on demande pourquoi les gens ne souhaitent pas passer \u00e0 un v\u00e9hicule \u00e9lectrique, la raison la plus fr\u00e9quemment avanc\u00e9e est tout simplement le prix des v\u00e9hicules<\/a>. Forc\u00e9ment, la plupart des mod\u00e8les existants ne sont clairement pas \u00e0 la port\u00e9e de toutes les bourses, avec des prix avoisinant facilement les 40 ou 50 000 \u20ac, selon les options choisies. Certes, les aides du gouvernement comme le bonus \u00e9cologique, qui augmente<\/a>, les offres de leasing \u00e0 100 \u20ac par mois<\/a> ou les voitures \u00e0 moins de 20 000 \u20ac<\/a> cherchent \u00e0 inverser la tendance. Il faudrait cependant un coup de pouce suppl\u00e9mentaire.<\/p>\n
Ce dernier pourrait bien venir plus vite qu'on ne le pense, et sans avoir rien \u00e0 faire. Si on veut baisser le prix d'une voiture \u00e9lectrique<\/strong>, le plus simple est de baisser celui de sa batterie<\/strong>. Le composant, forc\u00e9ment indispensable, est une part importante du prix d'achat final. Et bonne nouvelle : selon les pr\u00e9visions de Goldman Sachs<\/a>, le tarif des batteries va baisser d'environ 40 % d'ici 2025<\/strong>, par rapport \u00e0 2022. Le prix au kWh tomberait alors \u00e0 90 \u20ac environ<\/strong>, contre 130 aujourd'hui.<\/p>\n
