Les voitures \u00e9lectriques<\/strong> se divisent grossi\u00e8rement en deux segments. Le premier regroupe les mod\u00e8les haut de gamme<\/strong> voir tr\u00e8s haut de gamme<\/strong> avec par exemple la Tesla Model 3 2023<\/a>. Le second est en plein d\u00e9veloppement et comprend les v\u00e9hicules plus abordables<\/strong>, ne d\u00e9passant pas la barre symbolique des 25 000 \u20ac avant d\u00e9duction du bonus \u00e9cologique<\/strong>. Un exemple r\u00e9cent est la Citro\u00ebn \u00eb-C3<\/a>, affich\u00e9 \u00e0 partir de 23 300 \u20ac<\/strong>.<\/p>\n
Le constructeur Renault a annonc\u00e9 en janvier dernier son intention de rejoindre ce march\u00e9 avec plusieurs mod\u00e8les. Parmi eux, la R5 \u00e9lectrique est attendue au tournant. On peut d\u00e9j\u00e0 en avoir un aper\u00e7u avec la R5 Prototype<\/a> pr\u00e9sent\u00e9e il y a quelques mois. Pour la R5 \u00e0 venir, on s'attendait spontan\u00e9ment \u00e0 un prix de 25 000 \u20ac maximum, tout en \u00e9tant conscient des concessions que cela implique<\/strong>. Mais quand Fabrice Cambolive, le directeur de la marque, disait en interview que Renault travaillait dur pour sortir la R5 \u00e0 moins de 30 000 \u20ac<\/strong>, on a commen\u00e7ait \u00e0 s'inqui\u00e9ter.<\/p>\n
