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Alex a 4 ans pendant la crise sanitaire de 2020. Sa m\u00e8re, Courtney, a achet\u00e9 une structure gonflable pour lui et son 2 enfant. Mais tr\u00e8s vite, Alex doit arr\u00eater de jouer : il commence \u00e0 avoir tr\u00e8s mal<\/strong>. Sa nourrice doit lui donner de l'ibuprof\u00e8ne<\/strong> tous les jours, sans quoi il se tord de douleur<\/strong>. Rapidement, l'enfant se met \u00e0 m\u00e2cher tout ce qu'il lui tombe sous la main. Courtney l\u2019emm\u00e8ne chez le dentiste, et c'est le d\u00e9but d'un d\u00e9fil\u00e9 de m\u00e9decins pour comprendre ce qui arrive au petit Alex.<\/p>\n
Le dentiste ne trouve rien. Mais comme Alex grince des dents, il se dit qu'un orthodontiste devrait jeter un \u0153il. Ce dernier voit que l'enfant a un palais trop petit pour sa bouche, ce qui peut causer des difficult\u00e9s respiratoires<\/strong> pendant le sommeil notamment. \u00c7a expliquerait pourquoi Alex est toujours fatigu\u00e9. Mais le traitement propos\u00e9 n'arrange rien. Il grandit peu, commence \u00e0 boiter et avoir tr\u00e8s mal \u00e0 la t\u00eate. Alex encha\u00eene les rendez-vous avec des neurologues, p\u00e9diatres ou des sp\u00e9cialistes des troubles musculo-squelettiques. En 3 ans, 17 praticiens ne parviennent pas \u00e0 mettre un nom sur ce qu'il a<\/strong>.<\/p>\n