Google, Anthropic et OpenAI peaufinent leurs technologies dans leurs coins, sans trop \u00e9voquer les sources utilis\u00e9es pour entra\u00eener leurs grands mod\u00e8les de langage<\/strong>. Toujours plus d\u2019intellectuels, d\u2019artistes et de cr\u00e9ateurs se plaignent du pillage en r\u00e8gle op\u00e9r\u00e9 par les g\u00e9ants de la technologie, souvent au m\u00e9pris des droits d\u2019auteur. D\u00e8s juin 2023, des romanciers intentaient un proc\u00e8s \u00e0 OpenAI pour avoir form\u00e9 son IA avec des livres pirat\u00e9s<\/a>.<\/p>\n
Un nouveau groupe d\u2019auteurs a d\u00e9cid\u00e9 de poursuivre la startup pour des raisons similaires. L\u2019actrice Sarah Silverman et d\u2019autres auteurs portent plainte contre OpenAI<\/a>, l'accusant \u00ab d\u2019utiliser leurs \u0153uvres comme donn\u00e9es d\u2019entra\u00eenement, sans autorisation, en utilisant des ensembles de donn\u00e9es provenant de sites pirates \u00bb et de \u00ab violation des droits d\u2019auteur, de concurrence d\u00e9loyale, de n\u00e9gligence et d\u2019enrichissement indu \u00bb. Par ailleurs, ils estiment que tous les r\u00e9sultats des chatbots constituent des travaux d\u00e9riv\u00e9s<\/strong> g\u00e9n\u00e9r\u00e9s sans l\u2019autorisation des d\u00e9tenteurs de droits.<\/p>\n
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