Cr\u00e9dit : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
Le FBI a publi\u00e9 un message nous informant que \u00ab les cybercriminels impl\u00e9mentent des codes malveillants dans des applications mobiles<\/strong> de b\u00eata-test (apps) afin d\u2019escroquer les victimes potentielles \u00bb. Le service TestFlight sur iOS, qui permet aux utilisateurs avertis de tester des applications dont la version publique n\u2019est pas officiellement sortie, est tout particuli\u00e8rement vis\u00e9 par cette annonce, Google affirmant que les v\u00e9rifications de s\u00e9curit\u00e9 de l'Android Beta Program sont impossibles \u00e0 contourner<\/strong>.<\/p>\n
Les applications lanc\u00e9es \u00e0 travers Testflight<\/strong> ne sont pas encore d\u00e9ployables, et ne sont donc apparemment pas soumises aux v\u00e9rifications de s\u00e9curit\u00e9 habituelles de l\u2019Apple Store<\/strong>. C\u2019est la faille que les hackers exploitent, apr\u00e8s un gros travail d\u2019ing\u00e9nierie sociale. Car avant de pirater des appareils, il faut tout d\u2019abord app\u00e2ter des victimes. C\u2019est sur les r\u00e9seaux sociaux et sur les applications de rencontre que tout se joue.<\/p>\n