Cr\u00e9dit\u00a0: Deezer<\/figcaption><\/figure>\n
Depuis quelques mois, un sujet br\u00fblant bouscule le monde tr\u00e8s ferm\u00e9 du streaming musical\u00a0: la taxe annonc\u00e9e sur le gouvernement<\/strong>, cens\u00e9e financer la cr\u00e9ation fran\u00e7aise \u00e0 travers le Centre National de la Musique (CNM). En apparence pourtant, pas de quoi d\u00e9ranger le consommateur, l\u2019ex\u00e9cutif ayant pris soin de pr\u00e9ciser que cette taxe ne se ressentirait par sur ses abonnements. \u00c7a, c\u2019est pour la th\u00e9orie.<\/p>\n
En pratique, tout porte \u00e0 croire que cette promesse ne sera pas tenue. St\u00e9phane Rougeot, directeur adjoint de Deezer, est formel\u00a0: son service n\u2019aura pas les reins assez solides pour payer de lui-m\u00eame la taxe. Sur le plateau de BFMTV, celui-ci n\u2019h\u00e9site pas \u00e0 qualifier le projet de \u00ab\u2009taxe anti-Deezer\u2009\u00bb. Il faut dire que la pilule est dure \u00e0 avaler pour le service, dont 60\u00a0% du chiffre d\u2019affaires est r\u00e9alis\u00e9 en France<\/strong>, contre 3\u00a0% en moyenne pour la concurrence.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet \u2014 Spotify, Apple Music, Deezer\u00a0: les contours de la taxe Streaming se pr\u00e9cisent<\/a><\/strong><\/p>\n