Mandat\u00e9 par le gouvernement am\u00e9ricain pour trouver quelle agence f\u00e9d\u00e9rale s'\u00e9tait servie d'un spyware ill\u00e9gal aux \u00c9tats-Unis, le FBI rend sa conclusion. L'agence en question \u00e9tait le FBI.<\/strong><\/p>\n
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Le spyware Pegasus<\/a>, vous vous en souvenez ? En 2021, un scandale \u00e9clate quand on apprend que plusieurs pays se sont procur\u00e9s le logiciel malveillant pour espionner des dizaines de milliers de smartphones<\/strong>. D\u00e9velopp\u00e9 par la firme isra\u00e9lienne NSO<\/strong>, on le retrouve m\u00eame sur les mobiles de plusieurs dirigeants europ\u00e9ens<\/a>. M\u00eame le FBI avoue l'avoir test\u00e9<\/a>. Mais ce n'est pas le seul spyware cr\u00e9\u00e9 par NSO. Aux c\u00f4t\u00e9s de Pegasus, il y a Landmark, qui sert \u00e0 r\u00e9cup\u00e9rer les donn\u00e9es de g\u00e9olocalisation d'un mobile<\/strong>.<\/p>\n