Or et comme nous l'apprennent nos confr\u00e8res du site l'Inform\u00e9, la F\u00e9d\u00e9ration nationale des \u00e9diteurs de films (FNEF), \u00a0le syndicat de l'\u00e9dition vid\u00e9o (SEVN), l'Association des producteurs ind\u00e9pendants (API), l'Union des producteurs de cin\u00e9ma (UPC) et le Syndicat des producteurs ind\u00e9pendants (SPI) viennent d'assigner Orange, Bouygues Telecom, SFR et Free devant le tribunal judiciaire de Paris.<\/strong><\/p>\n
Les plaignants r\u00e9clament que les op\u00e9rateurs proc\u00e8dent au blocage de plusieurs sites d'h\u00e9bergement<\/strong> suspect\u00e9s de stocker et partager des films et s\u00e9ries pirat\u00e9s. Plus pr\u00e9cis\u00e9ment, il s'agit des sites suivants : Upvid, Uvideo, Fembed et Uqload.<\/strong> D'apr\u00e8s les ayant-droits, ces sites profitent des contenus pirat\u00e9s pour engranger des revenus publicitaires. Par ailleurs, les administrateurs de ces sites d'h\u00e9bergement favorisent m\u00eame ces activit\u00e9s ill\u00e9gales en poussant les pirates \u00e0 diffuser au maximum ces liens en \u00e9change d'une r\u00e9mun\u00e9ration.<\/strong><\/p>\n