Cr\u00e9dits : Pixabay<\/figcaption><\/figure>\n
\u00c0 ses d\u00e9buts, en mars 2006, et jusqu\u2019en 2017, Twitter imposait \u00e0 ses membres de r\u00e9diger des messages d'une longueur maximale de 140 caract\u00e8res<\/strong>. Loin d\u2019\u00eatre une coquetterie imagin\u00e9e par Jack Dorsey et les cr\u00e9ateurs du service, cette limite \u00e9tait dict\u00e9e par une contrainte technique : il \u00e9tait possible d\u2019envoyer des tweets par texto, et ces derniers ne pouvaient contenir que 160 caract\u00e8res. En 2017, l\u2019entreprise a doubl\u00e9 cette limite, au grand dam de certains utilisateurs, qui estiment que ses publications concises constituent la marque de fabrique de Twitter<\/strong>.<\/p>\n
\u00c0 lire \u2014 <\/strong>Twitter\u00a0: gr\u00e2ce \u00e0 Elon Musk, J\u00e9sus a enfin son compte certifi\u00e9<\/strong><\/a><\/p>\n
Elon Musk a pris les r\u00eanes de Twitter, et son arriv\u00e9e \u00e0 la barre a fait beaucoup de remous. Entre un licenciement de masse qui a vu plus de la moiti\u00e9 des employ\u00e9s quitter la compagnie et une certification d\u00e9sormais payante qui attire les trolls et les imposteurs, on peut dire que les mesures qu\u2019il a impos\u00e9es jusqu\u2019\u00e0 maintenant sont tr\u00e8s impopulaires. La derni\u00e8re id\u00e9e en date de l'homme le plus riche du monde<\/a> serait de relever la limite de caract\u00e8res du service \u00e0 1000<\/strong>. Cette derni\u00e8re lui aurait \u00e9t\u00e9 inspir\u00e9e par le tweet d\u2019un membre de la communaut\u00e9.<\/p>\n