Un ing\u00e9nieur de Twitter a partag\u00e9 le contenu d'un email envoy\u00e9 par Elon Musk. Il y dessine les contours de Twitter 2.0, un r\u00e9seau social dans lequel les codeurs ne comptent pas leurs heures, ne contestent pas les d\u00e9cisions du chef, et viennent travailler au bureau.<\/strong><\/p>\n
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Elon Musk ne s\u2019en cache pas : c\u2019est un bourreau de travail. Rien d\u2019\u00e9tonnant lorsqu\u2019on voit le nombre de startups maintenant florissantes qu\u2019il a cr\u00e9\u00e9es : Tesla, SpaceX ou encore The Boring Company. Il attribue le succ\u00e8s de ces derni\u00e8res \u00e0 une \u00e9thique faite de d\u00e9vouement \u00e0 l\u2019entreprise et de strict respect de l\u2019ordre hi\u00e9rarchique. Comme on le sait, l\u2019homme d\u2019affaires am\u00e9ricano-sud-africain vient d\u2019acqu\u00e9rir Twitter, et le moins que l\u2019on puisse dire, c\u2019est que ses d\u00e9buts au poste de PDG sont mouvement\u00e9s<\/strong>.<\/p>\n
\u00c0 lire \u2014 <\/strong>Twitter\u00a0: Elon Musk affirme que les caisses sont vides, la faillite n\u2019est pas loin<\/strong><\/a><\/p>\n
Dans un email envoy\u00e9 hier, Me Musk pose un ultimatum aux employ\u00e9s qui n\u2019ont pas encore \u00e9t\u00e9 vir\u00e9s lors de la premi\u00e8re grosse vague de licenciement de Twitter<\/a> : soit ils s\u2019engagent \u00e0 ne pas compter leurs heures et \u00e0 travailler \u00ab tr\u00e8s intens\u00e9ment<\/strong> \u00bb, soit ils prennent la porte. Les d\u00e9missionnaires recevront l\u2019\u00e9quivalent de trois mois de salaire comme indemnit\u00e9 de d\u00e9part. Les employ\u00e9s n\u2019ont que quelques heures pour donner leur r\u00e9ponse (valid\u00e9e par un simple clic dans le formulaire inclus dans le courriel). Les ing\u00e9nieurs qui choisiront de rester devront se mettre en mode \u00ab commando \u00bb. Les semaines qui viennent risquent d\u2019\u00eatre effectivement tr\u00e8s charg\u00e9es.<\/p>\n