La m\u00e9diation pour r\u00e9gler le probl\u00e8me de l'acc\u00e8s aux mineurs<\/h2>\nAu grand dam de l'ARCOM, le tribunal judiciaire de Paris a d\u00e9cid\u00e9 d'opter pour une m\u00e9diation<\/strong>, dans l'espoir de r\u00e9gler le litige \u00e0 l'amiable. Une d\u00e9cision bien \u00e9loign\u00e9e du souhait de l'ARCOM, qui avait requis le blocage pur et simple de ces sites X.<\/p>\n
“Le tribunal consid\u00e8re que la\u00a0pr\u00e9sente affaire comporte des crit\u00e8res d'\u00e9ligibilit\u00e9 \u00e0 une m\u00e9diation”,\u00a0<\/i>a d\u00e9clar\u00e9 Fabrice Vert, premier vice-pr\u00e9sident du tribunal judiciaire de Paris, et fervent d\u00e9fenseur de ce mode de r\u00e9solution des litiges. L'\u00e9conomiste Bruno Deffains a \u00e9t\u00e9 choisi comme m\u00e9diateur<\/strong>. “La position du\u00a0r\u00e9gulateur, ce n'est pas d'animer des ateliers pour aider les sites pornographiques \u00e0 exercer leur\u00a0activit\u00e9”,\u00a0<\/i>d\u00e9noncent les avocats de l'ARCOM.<\/p>\n