Airbnb est bien d\u00e9cid\u00e9 \u00e0 emp\u00eacher quiconque de faire la f\u00eate dans ses locations. Apr\u00e8s avoir impos\u00e9 ses restrictions en 2019, la plateforme d\u00e9ploie aujourd\u2019hui un outil qui permet d\u2019analyser le profil des utilisateurs pour d\u00e9terminer les risques d\u2019infraction aux r\u00e8gles. Si l\u2019algorithme d\u00e9tecte un potentiel f\u00eatard, ce dernier ne pourra pas r\u00e9server la propri\u00e9t\u00e9.<\/strong><\/p>\n
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Airbnb nous avait pr\u00e9venus en 2019\u00a0: dor\u00e9navant, ses locations seront contr\u00f4l\u00e9es s\u00e9v\u00e8rement<\/a>. Cette m\u00eame ann\u00e9e, plusieurs personnes ont trouv\u00e9 la mort au cours de f\u00eates organis\u00e9es dans des propri\u00e9t\u00e9s r\u00e9serv\u00e9es sp\u00e9cialement pour l\u2019occasion. Face \u00e0 la pol\u00e9mique, la plateforme a r\u00e9agi en interdisant la publication de ce type de propri\u00e9t\u00e9s, aussi appel\u00e9es \u00ab\u2009party-houses\u2009\u00bb. Puis, en 2020, dans une s\u00e9rie de mesures relatives \u00e0 la pand\u00e9mie de COVID-19<\/a>, l\u2019entreprise interdit d\u00e9finitivement l\u2019organisation d\u2019\u00e9v\u00e9nements.<\/p>\n