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Emmanuel Macron, candidat pour un second mandat \u00e0 la pr\u00e9sidence de la France, a accord\u00e9 un long entretien \u00e0 l\u2019hebdomadaire Le Point. Un article fleuve o\u00f9 il exprime ses id\u00e9es face aux r\u00e9cents \u00e9v\u00e9nements nationaux et internationaux et o\u00f9 il d\u00e9fend non seulement une partie de son bilan mais aussi son programme. Dans cet interview, une place a \u00e9t\u00e9 laiss\u00e9e aux questions num\u00e9riques. Et Emmanuel Macron n\u2019a pas h\u00e9sit\u00e9 \u00e0 pointer du doigt les r\u00e9seaux sociaux<\/strong>.<\/p>\n
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Selon lui, les r\u00e9seaux sociaux contribuent largement \u00e0 la diffusion des fausses informations et \u00e0 une certaine forme de violence. \u00ab On peut [y] tuer des r\u00e9putations, propager des fausses nouvelles, pousser des gens aux suicides<\/em> \u00bb, estime-t-il. Deux causes sont cit\u00e9es par le Pr\u00e9sident. D\u2019abord, il pointe du doigt d\u2019une part l\u2019anonymat qui prot\u00e8ge les auteurs de ses m\u00e9faits, alors que le principe est d\u00e9fendu par C\u00e9dric O, son actuel secr\u00e9taire d\u2019Etat au Num\u00e9rique.<\/p>\n