Cr\u00e9dits\u00a0: Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Aujourd\u2019hui, il est d\u00e9sormais acquis chez les utilisateurs de smartphones et autres internautes que pour utiliser un service, il faut le plus souvent accepter de confier ses donn\u00e9es personnelles<\/strong>. Cela est loin d\u2019\u00eatre au go\u00fbt de tout le monde, notamment de la Commission europ\u00e9enne, mais les choses sont ainsi. D\u00e9j\u00e0 sujet \u00e0 d\u00e9bat, ce constat est d\u2019autant plus probl\u00e9matique quand les donn\u00e9es confi\u00e9es le sont \u00e0 un pays en guerre<\/strong>, notamment connu pour ses activit\u00e9s illicites sur le web<\/a>.<\/p>\n
Selon une enqu\u00eate du Financial Times, ce sont pr\u00e8s de 50\u2009000\u00a0applications<\/strong> qui, par l\u2019interm\u00e9diaire d\u2019AppMetrica, enverraient les donn\u00e9es personnelles de leurs utilisateurs vers la Russie. AppMetrica est un kit de d\u00e9veloppement commercialis\u00e9 par Yandex, un moteur de recherche concurrent de Google en Russie, notoirement proche du Kremlin<\/strong>. L\u2019entreprise reconna\u00eet par ailleurs que son SDK collecte plusieurs donn\u00e9es, telles que le type d\u2019appareil, le r\u00e9seau ou encore l\u2019adresse IP.<\/p>\n