Cr\u00e9dits\u00a0: Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
La guerre en Ukraine est aussi bien terrestre que virtuelle. Quelques jours apr\u00e8s l\u2019invasion de la Russie, plusieurs rapports r\u00e9v\u00e8lent la strat\u00e9gie \u00e0 multiples facettes de Vladimir Poutine, dont le piratage et les r\u00e9seaux sociaux font partie int\u00e9grante<\/strong>. Ainsi, peu avant le lancement des op\u00e9rations, un wiper s\u2019est propag\u00e9 massivement en Ukraine pour effacer de nombreuses donn\u00e9es des PC infect\u00e9s<\/a>. La r\u00e9ponse du pays ne s\u2019est pas fait attendre. En fin de semaine derni\u00e8re, celui-ci a appel\u00e9 les pirates \u00e0 rejoindre l\u2019effort de guerre<\/a> pour assurer la cyberd\u00e9fense de ses infrastructures vitales.<\/strong><\/p>\n
Reste donc le deuxi\u00e8me point cl\u00e9 de face virtuelle de l\u2019offensive\u00a0: les r\u00e9seaux sociaux. Ce dernier se veut plus insidieux, puisqu\u2019il consiste \u00e0 diffuser des fake news aupr\u00e8s des Ukrainiens<\/strong> et, par cons\u00e9quent, au reste du monde. Ce dimanche, Meta a annonc\u00e9 dans un billet de blog avoir supprim\u00e9 plusieurs comptes partageant des liens vers de faux sites d\u2019information. Pour ce faire, la Russie a cr\u00e9\u00e9 des profils de toute pi\u00e8ce ou a pirat\u00e9 des comptes d\u00e9j\u00e0 existants<\/strong>. Une action qui prend place sur Facebook et Instagram donc, mais aussi sur Twitter, YouTube, Telegram ainsi que sur les plateformes russes Odnoklassniki et VK.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet\u00a0: Orange et SFR offrent les appels et les SMS vers l\u2019Ukraine<\/a><\/strong><\/p>\n