Cr\u00e9dits\u00a0: Pexels<\/figcaption><\/figure>\n
Plusieurs applications composent d\u00e9sormais le metaverse, la r\u00e9volution pr\u00e9sag\u00e9e par les grands noms de la tech<\/strong> chapeaut\u00e9e en grande partie par Facebook, devenu Meta pour l\u2019occasion. Parmi elles, on trouve VRChat, l\u2019une des plus populaires \u00e0 ce jour et qui permet de se cr\u00e9er un avatar 3D pour explorer l\u2019univers virtuel et rencontrer d\u2019autres utilisateurs. Comme la plupart des r\u00e9seaux sociaux, VRChat requiert d\u2019avoir un \u00e2ge minimum de 13\u00a0ans<\/strong> pour s\u2019inscrire. En revanche, aucune v\u00e9rification n\u2019est effectu\u00e9e avant le t\u00e9l\u00e9chargement.<\/p>\n
Il n\u2019est donc pas bien compliqu\u00e9 de cr\u00e9er un faux profil<\/strong> en se faisant passer pour une adolescente de 13\u00a0ans. C\u2019est pr\u00e9cis\u00e9ment ce qu\u2019a fait une enqu\u00eatrice de la BBC, souhaitant se confronter \u00e0 l\u2019envers du d\u00e9cor. Au premier coup d\u2019\u0153il, rien d\u2019alarmant \u00e0 signaler\u00a0: la plupart des lieux ne sont qu\u2019une reproduction de la r\u00e9alit\u00e9, comme des restaurants McDonald\u2019s<\/a>, tandis que d\u2019autres s\u2019adressent \u00e0 un public adulte. Ainsi, il n\u2019est pas rare de trouver sur son chemin l\u2019entr\u00e9e d\u2019un club de strip-tease<\/strong>, dans lequel n\u2019importe qui peut entrer.<\/p>\n