Au volant du BMW iX<\/span><\/h2>\nL\u2019int\u00e9rieur du BMW iX s\u2019apparente \u00e0 un v\u00e9ritable salon au design soign\u00e9, et le confort est au rendez-vous<\/strong>. L\u2019assise est agr\u00e9able, les repose-coudes \u00e0 bonne hauteur et tout est facilement accessible. Les bruits a\u00e9rodynamiques sont tr\u00e8s bien filtr\u00e9s jusqu\u2019\u00e0 130 km\/h<\/strong>, et pour l\u2019anecdote, les amateurs pourront profiter de sons artificiels qui ont \u00e9t\u00e9 con\u00e7us par le compositeur oscaris\u00e9 Hans Zimmer. Bien entendu il est aussi possible de les d\u00e9sactiver.<\/p>\n
La visibilit\u00e9 arri\u00e8re est limit\u00e9e<\/strong>, ce qui n\u2019est finalement pas si g\u00eanant que \u00e7a gr\u00e2ce aux nombreux capteurs qui \u00e9quipent le BMW iX et \u00e0 la vue \u00e0 360 degr\u00e9s. \u00c0 ce titre, les cam\u00e9ras ne sont pas de trop<\/strong> pour man\u0153uvrer sans crainte dans les places \u00e9troites, d\u2019autant qu\u2019elles affichent une d\u00e9finition \u00e9lev\u00e9e.<\/p>\n
D\u00e8s les premiers tours de roue, le BMW iX \u00e9tonne par sa facilit\u00e9<\/strong>, notamment \u00e0 basse vitesse. Il faut dire que les man\u0153uvres sont ais\u00e9es gr\u00e2ce aux roues arri\u00e8re directrices. Plusieurs modes de conduite sont propos\u00e9s qui modifient le comportement du v\u00e9hicule, mais \u00e9galement le style de l\u2019affichage sur les \u00e9crans. En revanche, contrairement \u00e0 Mercedes, BMW ne propose pas de palettes au volant<\/strong> afin de contr\u00f4ler le niveau de la r\u00e9cup\u00e9ration d\u2019\u00e9nergie au freinage. Tout passe donc par l\u2019\u00e9cran d\u2019info-divertissement<\/strong> et quatre modes sont disponibles (faible, moyen, \u00e9lev\u00e9 ou adaptatif en fonction des conditions). Un mode B est \u00e9galement disponible qui autorise la conduite \u00e0 une p\u00e9dale en levant simplement le pied de l\u2019acc\u00e9l\u00e9rateur pour ralentir le BMW iX.<\/p>\n
Les acc\u00e9l\u00e9rations sont puissantes<\/strong>, y compris lorsque le mode \u00e9co est activ\u00e9. Le mode Sport Boost permet de mettre un coup de pied aux fesses, mais sans non plus \u00eatre trop violent comme cela peut \u00eatre le cas chez Tesla par exemple. Un bon point pour les passagers qui profitent en outre de la suspension pneumatique de s\u00e9rie<\/strong>. Forc\u00e9ment, les d\u00e9passements et l\u2019insertion dans la circulation sont ais\u00e9s<\/strong> malgr\u00e9 le gabarit de pachyderme, et le roulis est contenu quand on s\u2019autorise un rythme plus soutenu sur le r\u00e9seau secondaire. L\u00e0 encore, le BMW iX profite de ses roues arri\u00e8re directrices qui garantissent la stabilit\u00e9 en courbe.<\/p>\n
Les aides \u00e0 la conduite sont efficaces<\/strong> pour d\u00e9l\u00e9guer les commandes au BMW iX dans les embouteillages par exemple, ou pour assister le conducteur sur autoroute. \u00c0 ce titre, l\u2019aide au maintien de voie s\u2019est montr\u00e9e tr\u00e8s efficace et rassurante<\/strong> lors de notre essai sous une pluie battante, avec parfois des conditions de visibilit\u00e9 tr\u00e8s difficiles sur autoroute. \u00c0 notre que contrairement \u00e0 l\u2019Auto Pilot de Tesla, le r\u00e9gulateur de vitesse adaptatif et l\u2019aide au maintien de file se r\u00e9activent automatiquement apr\u00e8s avoir chang\u00e9 de voie en activant le clignotant.<\/p>\n
C\u00f4t\u00e9 consommation, nous avons relev\u00e9 une moyenne de 28,3 kWh\/100 km sur notre parcours de 360 km<\/strong>. Une valeur \u00e9lev\u00e9e qui s\u2019explique par une majorit\u00e9 d\u2019autoroutes \u00e0 130 km\/h, et des conditions m\u00e9t\u00e9o peu propices avec de grosses averses, et des temp\u00e9ratures comprises entre 5 et 6 degr\u00e9s. C\u00f4t\u00e9 recharge, nous n\u2019avons pas pu d\u00e9passer un pic de puissance de 160 kW pendant quelques minutes sur une borne Ionity.<\/p>\n